Samedi 27 Août 2011  
Projet Montréal lance une pétition pour amasser des signatures afin d’entamer une réflexion vers l’adoption d’une stratégie pour mieux encadrer la pratique de l’agriculture urbaine afin qu’elle soit exploitée à son plein potentiel à Montréal.





























EN DIRECT DES PDQ

Un hôtel aux frais de leur victime
Article mis en ligne le jeudi 6 juillet 2011

La plaignante avait invité une amie à passer la fin de semaine chez elle pour le Grand Prix de Formule 1 à Montréal. Elles avaient fait connaissance à New York il y a environ trois mois. Mais dès le jour de son arrivée, le 9 juin, les amies se querellent. Elles se querelleront encore plusieurs fois toute la fin de semaine, si bien que le dimanche 12 juin, au petit matin, l’hôtesse téléphone à cette amie New Yorkaise pour lui expliquer que la visite est terminée. Elle lui donne rendez-vous dans le stationnement du restaurant Dunn’s à l’angle du boulevard Décarie et de la rue Jean-Talon afin de lui rendre ses affaires. À 6 h 30, au lieu et à l’heure dite, elle lui remet ses bagages comme convenu. Mais pour se loger ailleurs, la visiteuse exige 500 $ d’indemnisation pour des frais de chambre d’hôtel et de transport. Trouvant cette requête farfelue, la plaignante retourne vers sa voiture, mais un homme arrive par derrière elle et lui ordonne: « Give me your money, or I will smash your face ». La plaignante lui répond qu’elle ne leur doit pas d’argent, mais l’homme insiste. «Just give me $500 no matter what», dit-il. La plaignante s’enfuit dans le stationnement. S’ensuit une poursuite à pied qui dure de 30 à 45 minutes. Après quelques minutes, le voleur la nargue. «You’ll be hit by a car if you keep running. You’d better give me money», prévient-il. Dans sa détresse, la victime se réfugie sur le terre-plein central de la rue Jean-Talon pour héler des secouristes, mais elle n’y réussit pas. Elle tente de nouveau de raisonner le suspect, mais il réplique. «As soon as you get home, I’ll be at your door unless you give me the money», lance-t-il. La plaignante monte cette fois dans un taxi en attente dans le stationnement, où elle se fait prendre en sandwich par la visiteuse et la brute tenace. L’homme lui demande de nouveau 500 $ et dit au chauffeur : «If you call the police, I’ll smash your phone ». Quand ils sortent du véhicule, la victime se sauve et appelle au 911, toute troublée et essoufflée. « Lorsque les agents de police arrivent vers 8 h à l’angle de la rue Jean-Talon et du boulevard Décarie, ils voient une femme qui court et un homme qui court après elle », affirme l’agent sociocommunautaire Elizabeth Kraska. Les agents interviennent et arrêtent les suspects. L’accusée est âgée de 29 ans, et son complice est un résidant de Montréal de 22 ans. Ils devront répondre de voies de fait et de menaces.



Ne rien laisser à la vue d'autrui
Article mis en ligne le mercredi 22 juin 2011

Le 9 juin dernier, à 20 h, un homme à vélo papillonnait d'un véhicule à l'autre en scrutant l'intérieur des véhicules garés à la recherche d'objets à voler, selon un témoin. Le rapport de police indique que l'homme a brisé la vitre arrière d'une voiture, a pris ce qu'il y avait sur la banquette et a continué son chemin à vélo. Le témoin se trouvait à une trop grande distance et n'a pas pu fournir de description du voleur à vélo. Le propriétaire du véhicule avait laissé une somme d'environ 1100 $ CAN, des lunettes de soleil, divers documents et des bagages dans la voiture. Peter Mandelos, agent sociocommunautaire du poste de quartier 11, conseille à tous de ne jamais laisser d'objet de valeur dans un véhicule à la vue d'autrui. S'il y a des objets, il vaut mieux tout mettre dans le coffre.



Épinglé pour incendie criminel
Article mis en ligne le mercredi 22 juin 2011

Le 12 juin, à 21 h 30, les pompiers répondent à un incendie sur l'avenue Walkley. Des témoins s'approchent des agents de police qui dirigent la circulation et leur demandent une conversation en privé. Ils disent savoir qui aurait mis le feu à l'appartement, puis montrent aux agents un homme qui regarde le feu dans la rue. Selon le rapport de police, cet homme habitait avec sa sœur dans l'appartement en feu. Le frère et la sœur avaient eu une dispute avant l'incendie. La femme voulait sortir, mais son frère avait tenté de lui interdire de sortir de l’appartement. Pour la dissuader, il l'avait menacée d’y mettre le feu, mais la femme avait résisté au chantage. Quand elle est revenue, l'immeuble était en feu et elle s'est rendu compte que les flammes venaient de son appartement. Selon des témoins, son frère regardait l'incendie dans la rue et disait à tout vent qu'il avait «mis le feu à la maison». Le suspect, un homme de 26 ans de race blanche, a résisté à la police durant son arrestation. Il devra répondre de plusieurs chefs d'accusations, y compris pour avoir.



Une soi-disant victime se fait épingler
Article mis en ligne le mercredi 22 juin 2011

Le 11 juin à 22 h 25, les agents de police répondent à un appel à une adresse donnée sur l'avenue Prud'homme. Le résidant, un homme de 24 ans, leur raconte qu'il aurait répondu à la sonnette d’entrée. Il se serait ainsi retrouvé devant trois hommes qui lui auraient demandé de la drogue pendant que l'un d'eux le tenait en joue avec un révolver. Il aurait répondu qu'il n'en avait pas. Ils l'auraient alors poussé pour entrer de force en redemandant de la drogue, puis seraient finalement partis après avoir volé un iPhone, un Xbox et une télévision. En remplissant leur rapport, les agents se rendent compte que leur soi-disant victime ne raconte pas toute la vérité. De plus, ils voient quatre couteaux prohibés, quatre armes à feu et différentes sortes de balles de munition. Étrangement, le suspect dit qu'il ne vend pas de drogue, mais que les voleurs auraient également pris un sac de marihuana sans préciser la quantité. Il ne donne guère d'information sur les trois voleurs, mais il les décrit comme «des jeunes de race noire», possiblement les «amis d'un ami». La soi-disant victime a été arrêtée et devra répondre à une accusation de possession d'armes blanches prohibées. Deux des quatre armes à feu saisies sont des fausses et les deux autres sont d'un type qu’il reste à déterminer.



Un hôtel aux frais de leur victime
Article mis en ligne le mercredi 22 juin 2011

La plaignante avait invité une amie à passer la fin de semaine chez elle pour le Grand Prix de Formule 1 à Montréal. Elles avaient fait connaissance à New York il y a environ trois mois. Mais dès le jour de son arrivée, le 9 juin, les amies se querellent. Elles se querelleront encore plusieurs fois toute la fin de semaine, si bien que le dimanche 12 juin, au petit matin, l'hôtesse téléphone à cette amie New Yorkaise pour lui expliquer que la visite est terminée. Elle lui donne rendez-vous dans le stationnement du restaurant Dunn's à l'angle du boulevard Décarie et de la rue Jean-Talon afin de lui rendre ses affaires. À 6 h 30, au lieu et à l'heure dite, elle lui remet ses bagages comme convenu. Mais pour se loger ailleurs, la visiteuse exige 500 $ d'indemnisation pour des frais de chambre d'hôtel et de transport. Trouvant cette requête farfelue, la plaignante retourne vers sa voiture, mais un homme arrive par derrière elle et lui ordonne: « Give me your money, or I will smash your face ». La plaignante lui répond qu'elle ne leur doit pas d'argent, mais l’homme insiste. «Just give me $500 no matter what», dit-il. La plaignante s’enfuit dans le stationnement. S'ensuit une poursuite à pied qui dure de 30 à 45 minutes. Après quelques minutes, le voleur la nargue. «You'll be hit by a car if you keep running. You'd better give me money», prévient-il. Dans sa détresse, la victime se réfugie sur le terre-plein central de la rue Jean-Talon pour héler des secouristes, mais elle n'y réussit pas. Elle tente de nouveau de raisonner le suspect, mais il réplique. «As soon as you get home, I'll be at your door unless you give me the money», lance-t-il. La plaignante monte cette fois dans un taxi en attente dans le stationnement, où elle se fait prendre en sandwich par la visiteuse et la brute tenace. L’homme lui demande de nouveau 500 $ et dit au chauffeur : «If you call the police, I'll smash your phone ». Quand ils sortent du véhicule, la victime se sauve et appelle au 911, toute troublée et essoufflée. Lorsque les agents de police arrivent vers 8 h à l’angle de la rue Jean-Talon et du boulevard Décarie. Ils voient une femme qui court et un homme à ses trousses. Les agents interviennent et arrêtent les suspects. L'accusée est âgée de 29 ans, et son complice est un résidant de Montréal de 22 ans. Ils devront répondre de voies de fait et de menaces.



Journée fèves au lard
Article mis en ligne le jeudi 9 juin 2011

 
Photo: Courtoisie

Le 1er juin dernier, la commandante Simonetta Barth et l’agent sociocommunautaire Elizabeth Kraska, ont rencontré deux organismes et un partenaire lors de la remise de fonds aux organismes pour donner suite à l’activité de vente des fèves au lard 2010. Chaque année, les policiers de la Fraternité des policiers et policières organisent une journée « fèves au lard » afin de remettre des sommes d’argent importantes aux organismes du secteur où les agents offrent leurs services de police. Cette année, le PDQ 26 a distribué des fonds à Multicaf, au Centre des aînés et à l’Association de la communauté noire de Côte-des-Neiges.



Entrée par effraction
Article mis en ligne le jeudi 9 juin 2011

Le 29 mai dernier, vers 1 h 25, un voisin du magasin Jean Coutu situé au 510, rue Sherbrooke Ouest, a appelé la police après avoir entendu du bruit venant d’en arrière du magasin. Quand ils sont arrivés, les agents ont vu un homme qui sortait du magasin par la porte arrière, sur le côté du bâtiment. Quand ils se sont approchés de lui, l’homme a pris la fuite en courant. Les agents de policel’ont rattrapé quelques mètres plus loin et ont réussi à le déséquilibrer et à le menotter. L’homme avait pris le présentoir qui sert de vitrine aux billets de loterie et son contenu, et avait mis le tout dans un sac en plastique qui lui a échappé des mains quand il s’est mis à courir. Les agents ont trouvé une certaine quantité de hasch sur lui. Le suspect est un homme blanc âgé de 39 ans qui réside au centre-ville.



Braquage à la mitraillette
Article mis en ligne le jeudi 9 juin 2011

Le 28 mai dernier, à 12 h 24, un homme a braqué à main armée la Banque TD située au 6100 avenue Sherbrooke avec une mitraillette. Une employé qui travaillait dans un bureau, ayant vu le suspect masqué et la mitraillette qui allait entrer dans la banque, a couru pour aller verrouiller la porte, mais le braqueur était déjà entré. Tenant tout le monde en joue, l’homme a sauté par-dessus le comptoir et a demandé un montant d’argent de 2000 $ à la caissière en criant «Hurry up! Hurry up!» à l’employée qui tremblait de frayeur. Elle lui a remis un certain montant d’argent. Le voleur a dit « Thank you » est sorti en courant en laissant tomber une douille. Le paquet voleur qu’il tenait aurait ensuite explosé à l’angle du boulevard De Maisonneuve. Une citoyenne a rapporté quatre billets de 5 $ partiellement brûlés qu’elle avait trouvés sur le chemin de fer près du boulevard De Maisonneuve entre les avenues Mariette et de Mayfair. Le vol a été capté par la caméra de la banque. Le suspect est un homme blanc aux yeux bleus de 5 pieds 8 pouces et d’allure athlétique. Il portait un manteau kangourou à capuchon, un bandana sur le visage, des gants blancs et un jeans bleus.



Pris la main dans le sac
Article mis en ligne le jeudi 9 juin 2011

Un cambrioleur recherché par la police a récemment été capturé par le Module d’action par projet (MAP) du poste de quartier 11. Un résident vigilant a eu la puce à l’oreille en apercevant un homme qui semblait rôder dans le quartier, et a appelé la police. L’équipe du MAP, qui travaillait de nuit, a suivi l’homme sur la rue Northcliffe. Les agents l’ont vu entrer dans une maison sur Northcliffe et l’ont perdu de vue pendant quelques minutes. Quand il est sorti dans la rue, le voleur transportait une grande tire-lire volée. Les agents se sont approchés de lui pour l’arrêter. En le fouillant, ils ont trouvé sur lui des documents volés, des gants et des outils de cambriolage. Les agents ont ensuite parlé aux habitants de la maison qui leur ont confirmé que la tire-lire leur appartenait bien. Le suspect fait face à une trentaine de chefs d’accusations pour entrées par effraction, possession de biens volés et possession d’outils de cambriolage, entre autres. L’homme de 53 ans est un récidiviste qui possède un lourd casier judiciaire et venait d’été libéré au mois de mai.



Vol de nourriture
Article mis en ligne le jeudi 25 mai 2011

Le 16 mai, entre 16 h 30 et 19 h 30, un individu est entré par effraction dans le bureau de l’Envol des femmes, un centre d’aide aux jeunes mères en difficulté hébergé dans une église au 6870, rue de Terrebonne. L’homme a forcé l’entrée du bureau et a emporté la nourriture qui est destinée aux femmes quand elles se réunissent. Il a pris deux caisses de boissons gazeuses, des boîtes de céréales, le poulet surgelé et le lait. Peter Mandelos souligne qu’il s’agit sans doute d’une personne en détresse qui aurait volé de la nourriture par désespoir. Il tient à rappeler que toute personne qui se trouverait dans cette fâcheuse situation et qui aurait besoin d’aide devrait s’adresser au Dépôt alimentaire de NDG, une organisation charitable qui offre gratuitement des produits alimentaires à ceux qui en ont besoin. Il est situé au 2121, avenue d’Oxford à l’intersection du boulevard de Maisonneuve.



Un fraudeur récidiviste
Article mis en ligne le jeudi 25 mai 2011

Le 11 mai, la concierge d’un immeuble à logements sur l’avenue d’Oxford observe un homme louche qui flâne devant les boîtes aux lettres dans le hall d’entrée. Elle attend qu’il s’en aille pour s’en approcher à son tour et se rend compte qu’il manque du courrier. Elle fait le tour des logements pour avertir les résidants et décrire le suspect. Le lendemain, vers 13 h 45, la concierge le voit de nouveau et se cache pour l’épier. Il se sert d’une clé pour ouvrir toutes les boîtes aux lettres. La concierge se montre et lui demande ce qu’il est en train de faire. Il répond comme si de rien n’était qu’il attend quelqu’un. Elle lui demande qui, mais il improvise sa réponse. Il feint d’avoir assez attendu et s’en va. La concierge s’attend à le revoir et se cache. Environ 10 minutes plus tard, le voleur revient et continue de voler le courrier. Elle sort pour appeler la police, mais le suspect, en la revoyant, décide de déguerpir. Munis d’une bonne description, les agents finissent par le repérer quelques pâtés de maisons plus loin. Le voleur a un véhicule. Les agents le prennent en filature et le contraignent à s’arrêter. Du côté du passager, il y a un amas de courrier. Un agent lui demande ce qu’il fait avec ça et l’informe qu’ils ont reçu un appel et sont à la recherche d’un suspect qui correspond à sa description. Le suspect répond que c’est du courrier que des amis lui ont demandé d’aller chercher. De question en question, les agents se rendent compte que c’est un tissu de mensonges. Ils procèdent à son arrestation et trouvent pendant la fouille des clés qui ouvrent différentes boîtes aux lettres. Le tas de courrier était adressé à des résidents d’immeubles situés sur les avenues d’Oxford, Clanranald et Somerled. C’était surtout une sélection de courrier des banques Scotia et CIBC, de VISA et de chèques du gouvernement. Peter Mandelos, agent sociocommunautaire du poste de quartier 11, précise que ce genre de courrier aurait pu servir à des fins de fraude, et que le suspect est sans doute lié à réseau de fraude et de vol d’identité. Les agents ont visité les destinataires de ces lettres et ceux qu’ils ont trouvés ont dit qu’ils ne connaissent pas le suspect et ne l’ont pas autorisé à prendre leur courrier. Le voleur, un résident de Côte Saint-Luc, avait déjà un casier judiciaire pour des cas semblables. Il est décrit comme un homme âgé de 40 ans, 5 pieds 8 pouces, 180 lb. Il avait le crâne rasé et portait un pantalon sport noir Reebok, un T-shirt blanc et des chaussures sport Nike. Il fait face à des chefs d’accusation notamment pour vol de moins de 5000 $.



Un braquage pour des prunes
Article mis en ligne le jeudi 25 mai 2011

Le 9 mai, à 13 h 55, un homme cagoulé, tenant une arme à feu, profite d’un petit temps mort pour entrer dans la Banque Laurentienne située au 5651 rue Sherbrooke Ouest. Il s’approche de la caissière et lui dit avant de sauter par-dessus le comptoir que c’est un hold-up. Tenant la caissière en joue, le braqueur lui demande les billets de 50 $ et de 20 $ en parlant un français québécois. Aussitôt que la caissière ouvre le tiroir-caisse, le voleur se sert à volonté, puis tente de s’enfuir. Mais voilà qu’en repassant par-dessus le comptoir, le cagoulé se cogne, perd une partie de son butin et s’exclame : « Câââlisse! » Le maladroit sort de la banque à la course, mais, arrivé sur la rue Sherbrooke, un véhicule passe à un cheveu de le percuter. Indemne, mais pris de panique, le voleur jette cette fois presque tout l’argent dérobé. Il poursuit sa fuite avec ce qu’il reste en prenant l’avenue d’Oxford et disparaît en direction sud. Plusieurs témoins dans un bar voisin ont récupéré l’argent éparpillé et l’ont rapporté à la banque. Le suspect est décrit comme un homme blanc d’environ 25 ans, 5 pieds 8 pouces, 170 lb. En plus de sa cagoule, il portait un capuchon, des lunettes de soleil, un manteau noir, un jeans noir et des gants.



Hold-up
Article mis en ligne le jeudi 11 mai 2011

Le 2 mai dernier, une employée de la Banque laurentienne située au 6640, avenue Somerled, a été victime d’un hold-up. À 10 h 45, un homme entre dans la banque et se met à la file. Quand il arrive à son tour au comptoir, il ordonne à la caissière en murmurant : «Give me all your money. Don’t do anything, or I’ll kill you. » Comme elle ne comprend pas à cause du bruit, il lui répète sa menace en français. Ne voyant pas d’arme de poing, elle ne court pas de risque. Elle lui répond qu’il y a peu d’argent dans son tiroir-caisse, et lui donne ce qu’il demande. Le soi-disant braqueur prend l’argent et le met dans sa poche. Il sort ensuite de la banque en marchant sans se presser et s’enfuit à pied par l’avenue Walkley en direction Nord. La directrice de la banque sort du bâtiment pour voir dans quelle direction il se dirige et le voit entrer dans la cour arrière d’un bâtiment. Le SPVM et l’escouade canine déployés sur les lieux ne parviennent pas à repérer le suspect. La police est à la recherche d’un homme d’environ 35 ans, 6’2», 220 lb. Il portait un sac à dos sport noir, des chaussures de sport à semelle blanche, une casquette, un jeans foncé et un manteau avec capuchon à fourrure.



Attaque au couteau
Article mis en ligne le jeudi 11 mai 2011

Le 27 avril, à 23 h20, un individu en état d’ébriété sème le trouble au restaurant pub PJ’s, rue Saint-Jacques Ouest. Sachant qu’il est banni de ce restaurant, le videur lui rappelle qu’il ne peut pas fréquenter cet établissement et lui demande de quitter les lieux. Feignant de partir, l’homme fait volte-face et lance un couteau dans la direction des deux videurs. Les hommes pris pour cible esquivent l’arme de l’agresseur, puis ils le voient se réfugier dans le motel Chablis situé en face du restaurant. Quand les agents de police arrivent sur les lieux, ils vont au motel pour retrouver le suspect et rencontrent dans le hall d’entrée la femme qui l’accompagnait. Ils l’abordent pour lui poser des questions et se rendent compte qu’elle est ivre et qu’elle a de la cocaïne cristallisée (crack) dans son sac à main. Les agents l’arrêtent pour possession de drogue, mais ne parviennent pas à retrouver son compagnon. La police détient l’identité du suspect et croit que son arrestation n’est qu’une question de temps. Il fait face à plusieurs chefs d’accusation, notamment pour agression et possession d’une arme blanche. Il est décrit comme un homme d’environ 35 ans. Il avait les cheveux longs et frisés et une barbe complète. Il portait une casquette bleue, un gilet sans manches, une veste bleu foncé, et un jeans bleu.



Chasse à l’homme
Article mis en ligne le jeudi 11 mai 2011

Le 26 avril à 2 h 20, des patrouilleurs du SPVM témoins d’une infraction au Code de sécurité routière activent leurs gyrophares pour sommer le conducteur du véhicule fautif à s’arrêter. Dès que le policier s’approche de l’Elantra de Hyndai, le conducteur repart en accélérant. Les agents se lancent dans une poursuite policière, puis ils reçoivent l’ordre de l’abandonner quelques minutes plus tard, alors qu’ils se trouvent dans la ville de Hampstead. Tout en gardant un œil sur le véhicule, ils le voient s’arrêter à l’intersection du chemin de la Côte Saint-Luc et de l’avenue Wilson, puis voient deux personnes en sortir. Les agents se rapprochent de l’Élantra et font une chasse à l’homme à pied, mais ils perdent toute trace des suspects en arrière d’un bâtiment. La police appelée en renfort monte un barrage policier dans le périmètre et fait appel à l’escouade canine. Les fuyards demeurent introuvables. Dans l’Élantra, les policiers trouvent les clés sur le contact et le sac à main de la passagère sur la banquette. Le conducteur et propriétaire du véhicule est un individu très bien connu des policiers de la région pour ses vols qualifiés, ses délits de drogue et ses voies de fait, en plus de ses habituelles infractions pour possession d’arme. Il y avait un mandat d’arrestation contre lui. Le suspect a été capturé environ une semaine plus tard. Il fait face à un chef accusation pour refus d’obtempérer à une sommation de s’arrêter et à d’autres accusations. Sa complice ne fait face à aucune accusation.



Entrées par effraction à domicile
Article mis en ligne le jeudi 11 mai 2011

Un voleur sévit dans l’Est de Notre-Dame-de-Grâce. Le mode opératoire du suspect est d’entrer dans les maisons, de chercher des ordinateurs et des sacs à main et de prendre l’argent qu’il trouve. Il ne force pas de serrure pour entrer, mais passe toujours par une porte arrière non verrouillée ou une fenêtre ouverte et ne monte pas dans les chambres. Le voleur a déjà commis 15 entrées par effraction entre 23 h et 6 h dans le quadrilatère formé par les avenues Girouard et Clermont, entre l’avenue Monkland et le boulevard de Maisonneuve. Plusieurs des maisons ainsi dévalisées avaient pourtant un système d’alarme. L’agent sociocommunautaire Peter Mandelos conseille fortement de l’utiliser et d’activer l’armement partiel du système (portes et fenêtres). Il recommande aux résidents de bien verrouiller les portes et fenêtres de leur domicile. La police rapporte que le nombre d’entrées par effraction a ainsi considérablement augmenté depuis plus d’un mois et demande aux résidents de redoubler de vigilance et de rapporter tout incident louche au 911. Le suspect recherché est un homme de race blanche dans la trentaine.



Coalition: Justice pour Anas
Le coroner refuse d’absorber les frais d’avocat
Article mis en ligne le jeudi 28 avril 2011

Alors que l’enquête publique dans les causes et les circonstances de la mort d’Anas Bennis devait commencer hier à Laval, le bureau du coroner a décidé la semaine dernière de ne pas payer les honoraires d’avocat de la famille Bennis.

La famille Bennis s’estime de facto empêchée de participer à l’enquête dont le mandat est d’éclaircir ce qui est arrivé à Anas.
Le 2 septembre dernier, la Cour supérieure avait débouté la requête en cour de la Fraternité des policiers et policières de Montréal et ouvert la voie à une enquête publique qui devait être présidée par la coroner Catherine Rudel-Tessier.
La Coalition Justice pour Anas voulait s’assurer que l’enquête du coroner prenne en considération le rôle qu’a joué le profilage racial dans la mort d’Anas, un jeune d’origine marocaine et musulman pratiquant.

Mohamed Anas Bennis est mort alors qu’il retournait chez lui après ses prières matinales effectuées dans une mosquée de Côte-des-Neiges, le 1er décembre 2005. Il a été atteint de deux coups de feu tirés par l’agent Yannick Bernier. Le 3 juin 2008, la coroner en chef a ordonné une enquête publique dans ce dossier, mais la Fraternité des policiers et policières de Montréal a déposé une requête en cour, soutenue par la Ville de Montréal, pour que l’enquête soit annulée.
Pour Mohamed Bennis, le père d’Anas, « Il est tout à fait inconcevable que d’un côté, les policiers impliqués dans la mort de mon fils soient représentés par des avocats, aux frais des contribuables, et que de l’autre côté ma famille se voit refuser un traitement équitable. C’est clairement deux poids deux mesures. »

La Coalition déclare par ailleurs que la décision du Bureau du coroner ne concorde pas avec une décision récente rendue dans un cas similaire. Dans le cadre de l’enquête du coroner sur les causes et circonstances de la mort de Fredy Villanueva. « Les frais juridiques, non seulement ceux de la famille Villanueva, mais également ceux de Denis Meas et de Jeffrey Sagor-Metellus (tous deux blessés par le même policier qui a tué le jeune Fredy), ont été absorbés par le Bureau du coroner .»

La Coalition Justice pour Anas invite tous les groupes et individus qui soutiennent la cause de la famille Bennis à écrire à Robert Dutil, le ministre de la Sécurité publique, pour lui demander de renverser cette décision.

La Ligue des droits et libertés veut que le ministre Dutil fasse en sorte que les frais d’avocat de la famille Bennis soient payés afin d’éviter une situation où les principaux intéressés, les membres de la famille Bennis, se retrouvent en déséquilibre par rapport aux autres parties intéressées.



Vol qualifié
Article mis en ligne le jeudi 28 avril 2011

Le 23 avril, à 20 h 55, au alors que le restaurant Sushi Shop, sur l’avenue Monkland, allait fermer, deux jeunes de 15 à 20 ans entrent dans le restaurant. Pendant que l’employée était occupée, ils prennent le lecteur de carte à puce et tentent de le remplacer par un autre. Lorsqu’elle revient, elle voit les jeunes qui terminent d’installer l’appareil. Elle leur demande: « Que faites-vous? Je vais appeler 911. » En entendant ces mots, un des jeunes se dirige vers la porte, arrache la poignée, et revient vers l’employée en la menaçant de la frapper avec la poignée. Effrayée, l’employée crie et se couche sur le sol. Les deux voleurs s’enfuis sans emporter les lecteurs de cartes de débit. La police pourra sans doute retrouver les jeunes grâce aux empreintes digitales laissées sur les appareils.



Vol qualifié
Article mis en ligne le jeudi 28 avril 2011

Le 19 avril, à 18 h, une employée du Dollarama situé sur l’avenue Somerled, a été témoin d’un vol à l’étalage. Elle a vu une adolescente prendre des articles dans le rayon des produits cosmétiques, et les enfouir discrètement dans les poches de son manteau. Pendant ce temps, un jeune homme, qu’il l’accompagnait, faisait le guet. L’employée est allée voir la directrice du magasin et lui a raconté ce qui venait de se produire sous ses yeux. La directrice est aussitôt allée rencontrer la cliente. Elle lui a dit qu’elle était au courant du vol, et lui a demandé de vider ses poches et de lui remettre les produits volés. La voleuse s’est mise à crier : « It’s not your business. » Effrayée, la directrice est allée verrouiller l’entrée du magasin Arrivée à la porte, la suspecte s’est rendu compte qu’elle ne pouvait pas sortir. Elle s’est alors mise à crier et à hurler pour l’obliger à la laisser sortir du magasin. Comme la directrice n’ouvrait pas la porte, la voleuse s’est mise à la pousser. Blessée au bras, la responsable refusait toujours de laisser sortir l’agresseure. La jeune fille est donc retournée voir la gérante, la suppliant de ne pas appeler la police. Elle s’est alors mise à sortir les objets volés de ses poches et les a déposés sur le comptoir. Comme la police avait déjà été alertée, les agents sont arrivés et n’ont eu qu’à la mettre en état d’arrestation. La suspecte fait face à des chefs d’accusation pour agression et vol à l’étalage.



Le cellulaire ou le volant
Article mis en ligne le jeudi 28 avril 2011

Le poste de quartier 26 rappelle qu’il est interdit, en vertu de l’article 439.1 du Code de sécurité routière, de conduire un véhicule tout en faisant usage d’un appareil tenu en main muni d’une fonction téléphonique.

Depuis l’entrée en vigueur de cette loi, en avril 2008, une personne ne peut parler, vérifier sa messagerie vocale, lire ses courriels ou envoyer des messages rapides, même si le véhicule est arrêté à un feu rouge.

Les contrevenants s’exposent à une amende de 115 $ et à trois points d’inaptitude.

Il faut soit garer son véhicule légalement, soit utiliser son système mains libres, soit demander à un passager de répondre ou de faire l’appel à sa place. Il est plus prudent d’éteindre le cellulaire et de laisser la messagerie vocale prendre ses appels.

Les conversations téléphoniques mains libres ne sont pas interdites, mais elles diminuent l’attention et la concentration sur la route et nuisent au temps de réaction lors d’une manœuvre urgente.

L’agent sociocommunautaire Elizabeth Kraska du poste de quartier 26 rappelle également que l’utilisation du cellulaire est une source de distraction au volant qui augmente le risque d’accident, comme par exemple brûler un feu rouge, dépasser la limite de vitesse ou négliger d’utiliser ses clignotants pour changer de direction.



Coalition: Justice pour Anas
L’enquête du Coroner débute le 27 avril
Article mis en ligne le jeudi 14 avril 2011

La Coalition Justice pour Anas a soumis une demande pour être reconnue comme « personne intéressée » dans l’enquête du coroner sur les causes et circonstances de la mort d’Anas Bennis, qui débutera le 27 avril 2011. La Coalition Justice pour Anas veut s’assurer que l’enquête du coroner prenne en considération le rôle qu’a joué le profilage racial dans la mort d’Anas, un jeune d’origine marocaine et musulman pratiquant. « Un agent impliqué dans la mort d’Anas a été trouvé coupable cet été de cinq infractions au code de déontologie policière dans une affaire non reliée qui soulève le spectre du profilage racial, alors que des rapports récents dévoilés lors de l’enquête publique sur la mort de Fredy Villanueva ont révélé les tendances au profilage racial des forces policières à Montréal » déclare Samir Shaheen-Hussain, un membre de la Coalition. « Il est alors impératif que la question du profilage racial soit explorée pour comprendre les circonstances qui ont mené à la mort d’Anas. » Mohamed Anas Bennis est mort alors qu’il retournait chez lui après ses prières matinales effectuées dans une mosquée de Côte-des-Neiges, le 1er décembre 2005. Il a été atteint de deux coups de feu tirés par l’agent Yannick Bernier. Le 3 juin 2008, la coroner en chef a ordonné une enquête publique dans ce dossier, mais la Fraternité des policiers et policières de Montréal a déposé une requête en cour, soutenue par la Ville de Montréal, pour que l’enquête soit annulée. Une décision de la Cour Supérieure, le 2 septembre dernier, a débouté la requête de la Fraternité, ouvrant la voie à une enquête publique. Elle sera présidée par la coroner Catherine Rudel-Tessier.



Vol qualifié
Article mis en ligne le jeudi 14 avril 2011

Le 3 avril, vers 4 h, un chauffeur de taxi au service d’une compagnie a fait une course qui s’est mal terminée. À l’intersection de l’avenue Des Pins et du boulevard Saint-Laurent, six personnes hèlent un taxi. Une cliente descend sur la rue Saint-Urbain, une deuxième personne se fait déposer à l’angle de l’avenue Westminster et du chemin Mackle, et un jeune homme et une jeune femme se font conduire à l’angle de l’avenue Palmer et du chemin Guelph, À l’angle des avenues Coolbrook et Plamondon, les choses se gâtent. Deux passagers sortent du taxi et le chauffeur se retrouve avec un seul client dans le taxi, assis juste derrière lui. Le passager saisit soudain la lampe de poche qui se trouve entre les deux sièges avant. Pressentant qu’il allait partir sans payer, le chauffeur l’empoigne, mais il reçoit coup de poing dans le visage et lâche prise. L’agresseur s’enfuit avec la lampe de poche sans payer la course, rejoint les deux autres clients, et disparaît avec eux en courant dans une ruelle. Le total du vol s’élève à une quarantaine de dollars. L’homme recherché est décrit comme un jeune homme blond, âgé d’environ 25 ans, 1,80 m. Il parlait français et portait un chandail gris à manches longues et un jeans.



Vol qualifié
Article mis en ligne le jeudi 14 avril 2011

Un résident du 3300, rue Goyer rentrait chez lui le 2 avril dernier, vers 17 h 30 quand, arrivé près de chez lui, deux hommes surgissent derrière lui et tentent de s’emparer de son cellulaire. Mais il le tient bien et refuse de lâcher son précieux gadget. L’un des suspects lui assène des coups dans le bras et dans le visage. L’autre brute vient par derrière, frappe la victime dans le visage et la pousse au sol. Le premier agresseur réussit à s’emparer du cellulaire et s’enfuit avec son complice en courant direction est sur la rue Goyer, puis en direction nord sur l’avenue Decelles. Le premier suspect est décrit comme un jeune homme de 18 à 20 ans, environ 1,77 m, 77 kg. Il avait les cheveux noirs, attachés, et les yeux bruns. Il portait une casquette, un coupe-vent et un pantalon noirs. Le deuxième suspect avait environ le même âge et portait un T-shirt blanc.



Vol qualifié
Article mis en ligne le jeudi 14 avril 2011

À la fin mars, après avoir quitté le restaurant Chez Benny, un homme et une femme marchent en direction nord sur le chemin Queen Mary, quand soudain, un groupe de trois individus les abordent près de l’intersection des avenues de Westbury et Lacombe. L’un des membres du groupe met un pistolet contre la tête de l’homme et, alors qu’il se fait détrousser, il voit un suspect lancer du poivre de Cayenne dans le visage de la femme avant de subir le même sort dans la seconde qui suit. Pendant qu’ils sont aveuglés, les brutes s’emparent du sac à main de la femme, de son portefeuille et de son cellulaire, et s’enfuient. Le suspect au pistolet est décrit comme un homme anglophone d’environ 18 ans, 1,75 m à 1,90 m. Il avait le teint basané et portait une barbe de quelques jours, une casquette noire et un chandail noir à capuchon. Il avait une arme de poing de couleur noire. Le deuxième suspect est un homme de 18 à 20 ans, 1,65 m et 55 kg. Il portait un manteau noir avec « Carlsberg » calligraphié en lettrage blanc. Le troisième suspect est décrit comme un homme de 18 à 20 ans qui parlait anglais, 1,65 m, 55 kg, qui était vêtu de couleurs foncées.



Vol qualifié
Article mis en ligne le jeudi 31 mars 2011

Le 27 mars, à 17 h 10, une femme de 32 ans et enceinte de plus de six mois, effectue un retrait au guichet automatique à la banque Laurentienne située au 6640 avenue Somerled. Elle vient à peine d'entrer son numéro d'identification personnelle quand un homme s'approche d'elle par derrière. Comme il presse sa hanche droite sur son corps, elle sent un objet dur dans sa poche droite. Le voleur lui demande alors de retirer de l'argent pour lui. Paralysée de frayeur, elle finit néanmoins par dire: « Ne me faites pas de mal. Je suis enceinte. » Il lui répond: « Fais seulement ce que je te demande. Je ne veux pas te faire de mal. Donne-moi juste de l'argent, j'ai des enfants à nourrir. » La femme lui répond que ses débits sont limités à 500 $ par jour, et le voleur lui fait signe de procéder. La femme lui donne donc des billets de banque. En prenant l'argent, l'homme lui dit alors: « Maintenant reste ici parce que je ne veux pas te faire de mal. J'ai des amis dehors. » La femme reste donc une minute de plus dans la banque avant d'appeler au service d'urgence 911. La police recherche un homme noir d'environ 5,8 pieds, mince qui parle anglais. Il portait des vêtements noirs et un manteau trois-quarts avec une capuche bordée de fourrure. Il avait également de la mousse blanche autour de la bouche. « C'est une caractéristique que l'on observe couramment chez les personnes qui font usage de drogue », explique Peter Mandelos. La femme serait en mesure de l'identifier, mais n'est pas sûre s'il dissimulait réellement une arme à feu. Le vol a été capté par la caméra vidéo de la banque. Le suspect a agi à visage découvert, et ce n'est qu'une question de temps pour que la police lui mette la main au collet, selon Peter Mandelos.



Un policier agressé
Article mis en ligne le jeudi 31 mars 2011

Le 21 mars vers 2 h deux agents de police, membres du groupe Éclipse qui effectuent régulièrement des contrôles dans les bars, arrivent au bar Les Amazones situé au 6820, rue Saint-Jacques. Aussitôt qu'ils entrent dans le bar, un homme armé d'une bouteille de bière frappe un agent par en arrière à deux reprises. L'agent se retourne et lui demande: « Pourquoi m'avez-vous frappé? » L'agresseur leur crie grossièrement de partir, et dit : « Vous n'avez rien de mieux à faire que venir ici? » Les clients et le barman interviennent calmement, mais l'homme continue d'injurier la police, et pousse un des agents. Les agents l'empoignent et l'emmènent à l'extérieur pour le mettre son arrestation. À l'extérieur du bar, ils tentent de lui parler, mais l'homme continue son comportement verbal et physique violent. Les agents réussissent à lui passer les menottes. Pendant ce temps, le suspect profère inlassablement des menaces. «Vous ne savez pas à qui vous avez affaire. Si vous avez de la famille, je vais leur refaire le portrait... à vous et à votre famille. Je suis un gars de l'armée. Vous feriez mieux de faire attention ». L'homme de 25 ans, un résident de Châteauguay, a été placé dans une cellule de détention au Centre d'enquête sur le boulevard Saint-Laurent en raison de son grave état d'ébriété. Il fait face à des accusations de menaces et de voies de fait contre des agents de la paix.



Un métier parfois ingrat
Article mis en ligne le jeudi 31 mars 2011

Le 5 mars, à 17 h 20, des policiers roulaient en direction ouest sur la rue Sherbrooke quand ils aperçoivent un véhicule qui ressemble à celui utilisé lors d'une entrée par effraction. Ils font demi-tour pour relever le numéro de plaque d'immatriculation. Dès qu'il les voit, le conducteur bifurque devant le restaurant Ma's, et entre dans le restaurant. Les agents restent dans leur véhicule pour faire la vérification sur leur ordinateur. Ils apprennent que le propriétaire de ce véhicule a un mandat d'arrestation contre lui pour avoir violé à deux reprises l'interdiction de posséder une arme à feu. Comme il commence à faire noir, les agents voient le conducteur à l'intérieur du restaurant. Quand ils entrent à leur tour, l'homme sort son permis de conduire et l'agite en l'air pour le montrer aux agents. Ils l'examinent et constatent que l'homme devant eux est bien le propriétaire du véhicule garé dehors. Ils le préviennent qu'il est sous arrestation et lui demandent de déposer son portefeuille et son baladeur numérique afin d'exécuter une fouille sommaire et lui passer les menottes. Impassible, le prévenu répond « Wait! ». Soudain, il fait volte-face en portant la main à sa ceinture et brandit une arme de poing. Un agent s'exclame alors: « Gun! Gun! Drop the gun! » Le prévenu refuse de lâcher son arme. Sans sortir leur propre arme à feu, les agents font deux tentatives pour le désarmer et parviennent à lui faire lâcher son arme en donnant des coups sur la main qui la tient. Le revolver, un Colt Army Special, était chargé de six balles de calibre 38. L'homme âgé de 26 ans devait répondre de plusieurs chefs d'accusation pour possession d'arme à feu restreinte et bris de probation. C'est un homme qui est obsédé par les armes et qui a fait partie d'un groupe d'armes spéciales et tactique. Ce métier a un aspect parfois ingrat qui mérite d'être souligné, selon Peter Mandelos, agent socio-communautaire du poste de quartier 11. « Personne n'entend parler des bons coups de la police chaque fois que les agents parviennent à leur risque et péril à neutraliser un individu armé sans dégainer leur arme de service. Les agents de police Francis Thouin et Maxime Bérubé ont fait un excellent travail», a-t-il dit.



Vol qualifié
Article mis en ligne le jeudi 25 mars 2011

Le 21 février à 19 h 40, le plaignant prend l’autobus à partir de la station Lionel-Groulx pour aller à l’angle des avenues Victoria et Plamondon. Il marche sur Victoria, direction nord, en envoyant des textos par cellulaire. Tout à coup, il se sent suivi par deux hommes. À l’angle des avenues Victoria et de Courtrai, ils se rapprochent de lui, et un suspect lui dit : « Give me your cell phone ». Le plaignant prend cela comme une blague et refuse. Il entend : « Don’t let us hurt you ». Il encaisse un coup dans la mâchoire gauche et tente de protéger son cellulaire en tombant au sol. Il crie pour appeler à l’aide et continue de recevoir des coups de pied dans le front et dans le thorax. L’un des suspects tente d’arracher le cellulaire. À ce moment-là, deux témoins accourent et les deux scélérats s’enfuient sans réussir à prendre le cellulaire. La victime a subi des blessures au visage, des ecchymoses du côté gauche du front, des rougeurs à la mâchoire et aux coudes et des douleurs dans les côtes. Le premier suspect est un homme d’environ 20 ans, 1,82 m, 90 kg. Il parle anglais et portait un manteau d’hiver noir et une casquette noire. Le deuxième suspect est un homme d’environ 20 ans, 1,80 m, 75 kg. Il portait un kangourou noir et un foulard noir sur le visage. L’agent sociocommunautaire Elizabeth Kraska du PDQ 26 rappelle que l’on vit dans une société de technologie. Aujourd’hui, presque tout le monde porte sur soi un gadget électronique. Il suffit de donner l’heure à quelqu’un pour s’exposer au danger bien réel d’un vol qualifié.



Beaucoup de peur et de mal
Article mis en ligne le jeudi 25 mars 2011

Le 18 février à 12 h 45, un étudiant de 20 ans du secteur de Côte-des-Neiges marchait sur Van Horne, direction est, à la sortie du métro Plamondon, puis sur Lavoie, direction sud. Tout à coup, il se sent suivi. À l’angle de l’avenue Linton et de la rue Lavoie, un homme le saisit par l’épaule pour le faire retourner, arrache ses écouteurs et se met à le fouiller. Le larron lui dit de lui donner tout ce qu’il a. Ensuite, il le frappe à quelques reprises à la tête avec le pistolet noir qu’il tient de la main droite. Il finit par le pousser au sol et lui donner un autre coup à la tête. Le scélérat prend ensuite la fuite sur Lavoie, direction nord, avec l’iPhone de la victime. Le suspect est un homme d’environ 20 ans, 1,80 m, 70 kg. Il a les cheveux noirs et les yeux bruns. Il portait un chapka foncé, une veste noire sans manches, un chandail avec capuchon gris. Il parle français avec un accent québécois. Le pistolet noir était un jouet.



Vol qualifié dans un commerce
Article mis en ligne le jeudi 25 mars 2011

Le 12 février, à 13 h 35, le Couche-Tard situé au 6300, rue Sherbrooke Ouest a été ciblé pour un vol. Aussitôt que les clients du dépanneur sortent, l’homme qui attendait dans la cabine téléphonique située à l’extérieur du dépanneur fait irruption dans le magasin. Il sort un couteau, saute par-dessus le comptoir et ordonne au caissier de lui donner l’argent en le menaçant. Il ordonne ensuite au caissier d’ouvrir le tiroir-caisse et le force à rester à l’écart pendant qu’il vide le contenu dans un sac plastique du Couche-Tard. Il empoigne ensuite le caissier, le plaque au sol et lui ordonne : « Reste couché et compte jusqu’à 10. Appelle pas la police ou personne d’autre », avant de se sauver sur la rue Sherbrooke, direction est. La gérante, qui se trouvait alors dans le bureau, appelle 911, mais quand la police arrive, le larron est déjà loin. Le suspect recherché est un homme d’environ 1,73 m, 81 kg. Il parle français et portait un manteau beige avec une ligne noire au milieu du dos, une tuque noire, un cache-cou noir, un pantalon et des gants noirs et des lunettes de soleil.



Une leçon à retenir
Article mis en ligne le jeudi 25 mars 2011

Le 11 février à 17 h 15, en répondant à la sonnette de leur domicile sur l’avenue West Broadway, un couple reçoit la visite de deux hommes louches appâtés par leur petite annonce Kijiji. Le couple avait mis des bijoux à vendre. Aussitôt entré, l’un des hommes sort un fusil à canon scié de sa veste et ordonne: « Do what I say and you won’t be hurt ». « Le couple aurait pu leur refuser d’entrer, mais se sentaient impuissants étant donné la taille de ces hommes jeunes et forts », précise l’agent sociocommunautaire du PDQ 11 Peter Mandelos. Pendant qu’un des malfaiteurs cherche les bijoux, l’autre surveille les prisonniers qui ont les mains liées au moyen d’attaches autobloquantes, et la bouche et les yeux couverts de ruban adhésif en toile. Soudain, ils entendent un coup de feu retentir dans la pièce que le larron est en train de fouiller, et les deux voleurs, affolés, s’enfuient. C’est peut-être la détente accidentelle de la gâchette qui a fait fuir les usurpateurs, selon Peter Mandelos. Environ dix minutes plus tard, les victimes parviennent à se libérer et à appeler 911. Des techniciens en scène de crime sont également appelés pour effectuer des relevés d’empreintes digitales. Le couple constate alors que des bijoux ont été volés, incluant ceux qui étaient à vendre, mais ne sont pas sûrs d’avoir tout énuméré ce qu’il manque. Le suspect armé est décrit comme un homme d’environ 25 ans, 1,76 m et 72 kg. Il est anglophone et portait un long manteau bleu et une tuque noire. Le second est également âgé d’environ 25 ans, 1,82 m et 77 kg. Il portait un manteau gris, un jean bleu et une tuque grise à pompon. Peter Mandelos déconseille de donner un numéro de téléphone câblé dans les petites annonces Kijiji, LesPac.com ou Craigslist afin d’éloigner les indésirables. Il serait également préférable d’emmener les articles à vendre dans un endroit public.



Vol qualifié
Article mis en ligne le jeudi 25 mars 2011

Le 23 février, à sa sortie de l’école à 17 h 30, un jeune se dirige vers le métro Côte-des-Neiges en compagnie de trois amis quand, en arrière de l’édicule de la station de métro, trois jeunes s’approchent d’eux. L’un d’entre eux, parlant peu clairement, lance à la cantonnade : « Avez-vous des chiches? » Ensuite, ils leur demandent s’ils ont de l’argent. L’un d’eux répond « Non ». Se faisant soudain plus insistant, le suspect sort un couteau de son manteau, et de la main droite, le retire à demi de son fourreau. Pour éviter des problèmes, le plaignant leur donne à contrecœur l’argent qu’il avait sur lui, puis les suspects s’enfuient. Le couteau était un kirpan, mais les suspects seraient d’origine libanaise, selon le plaignant. Le premier suspect est décrit comme un homme d’environ 17 ans, 1,65 m, droitier, qui parle français. Il avait les cheveux frisés, noirs et très courts sur les côtés. Il portait une veste en cuir noire, un jean bleu foncé et des chaussures d’été noires. Le deuxième suspect est également d’environ 17 ans. Il portait une veste de style sport noire et un pantalon noir à lignes blanches griffé Adidas et une tuque rouge à lignes bleues.



Faire du mal
Article mis en ligne le jeudi 17 février 2011

Le 9 février vers 17 h 59, un homme entre dans le magasin Public Mobile situé au 4214, chemin Queen Mary, et regarde les téléphones. Quelques minutes plus tard, il demande à la caissière de lui échanger une pièce de 25 cents en devise américaine pour une pièce de 25 cents en devise canadienne. Puis il glisse la main gauche sous son manteau et la pointe vers l’employée pour lui faire croire qu’il dissimule une arme à feu. Lorsqu’elle lui donne l’argent, le suspect tente de se faire passer pour un bon Samaritain en mentionnant que sa fille est malade. Il demande à sa victime de ne pas appuyer sur le bouton d’urgence avant de prendre la fuite en direction du métro Snowdon. Le suspect est décrit comme un homme d’environ 25 ans, 1,75 m, 75 kg, qui parle français. Il a les yeux bleus, des taches de rousseur et une barbichette rousse. Il portait des jeans pâles, un chandail, un capuchon rayé gris foncé et vert et un foulard bleu.



Vol qualifié
Article mis en ligne le jeudi 17 février 2011

Un vol qualifié s’est produit le 9 février vers 18 h 30. La plaignante se dirige vers l’entrée de l’immeuble situé au 4721, avenue Linton. À deux pas de l’entrée, un homme arrive par-derrière elle et lui donne, de la main droite, un coup de poing au côté droit du visage. La victime tombe dans la neige. Le suspect se penche vers la plaignante, arrache le sac à main qu’elle tenait de la main droite et prend ensuite la fuite sur l’avenue Linton direction est. Le sac à main contenait son téléphone cellulaire, des cartes personnelles, un peu d’argent, deux agendas, des clés pour un bâtiment et plusieurs produits cosmétiques. Le suspect est décrit comme un jeune homme très mince, environ 1,55 m. Il portait un chapeau noir en tissu, un manteau court et des pantalons noirs.



Trois dans le panier à salade
Article mis en ligne le jeudi 17 février 2011

Un vol qualifié s’est passé le 7 février vers 11 h 30. Le plaignant sortait de la succursale Banque nationale à l’angle des avenues Lacombe et Decelles où il venait de faire un retrait au guichet automatique. En marchant en direction est sur Lacombe, il se sent suivi, se retourne et voit trois hommes qui lui sautent dessus. Ils lui demandent son argent et ses cartes personnelles. Le suspect se met à crier et fait fuir les suspects sur Lacombe en direction est. Une passante vient assister la victime. Ensemble, ils tentent de retracer les trois suspects. Environ 30 secondes plus tard, ils croient les avoir localisés sur Decelles à l’angle Édouard-Montpetit et les voient entrer dans un appartement. Des agents de police dépêchés sur les lieux ont pu identifier trois jeunes suspects de 17 ans qui étaient déjà connus de la police. La victime s’était fait voler de l’argent et son cellulaire. C’est grâce à ses cris et à l’aide de la passante que cette histoire a mené à l’arrestation de ces trois jeunes, selon l’agent sociocommunautaire Elizabeth Kraska.



Guet-apens
Article mis en ligne le jeudi 17 février 2011

Un vol qualifié est survenu le 7 février dernier, à 2 h 35, lorsque le plaignant était sorti du restaurant où il travaillait pour rejoindre la personne qui devait lui remettre sa paye. Tel que convenu, l’employé trouve sa patronne stationnée à l’angle du chemin de la Côte-des-Neiges et de l’avenue Dupuis, où il reçoit l’enveloppe d’argent comptant, puis la glisse dans la poche gauche de son manteau. À peine est-elle partie que deux hommes abordent le cuisinier et lui demandent en anglais comment il va, et d’où il vient en se tenant très près de lui. Le cuisinier tient un panier d’épicerie contenant des légumes pour le restaurant. Tout en continuant à marcher, il répond aux suspects qu’il n’a pas le temps de parler. Soudain, il se rend compte que sa paye n’est plus dans sa poche et il voit le premier suspect s’enfuir sur l’avenue Dupuis en direction ouest. Alors qu’il s’élance pour le rattraper, le deuxième suspect lui fait un croche-pied pour faire trébucher la victime avant de prendre la fuite. Les voleurs ont pris une somme importante en argent comptant. Le premier suspect est décrit comme un homme d’environ 20 ans, 1,70 m et 63 kg. Il a les cheveux noirs et portait un manteau noir et un pantalon noir avec un chandail blanc. Il parlait un anglais approximatif. Le deuxième suspect est décrit comme un homme d’environ 20 ans, 1,80 m, 82 kg, les cheveux noirs. Il avait les cheveux frisés noirs, et portait un manteau noir, un chandail blanc, un capuchon vert et un sac noir en bandoulière. Il parlait peu l’anglais.



Un homme arrêté pour homicide
Article mis en ligne le lundi 24 janvier 2011
 
Photo courtoisie du SPVM
Rodrigo Odones

Un suspect a comparu aujourd'hui à la cour relativement au 2e homicide survenu sur le territoire de Montréal en 2011. 

Le 18 janvier dernier, le concierge d'un immeuble à logements situé dans le secteur de Côte-des-Neiges a découvert le corps inanimé de la victime, un homme de 44 ans. Le corps avait des marques de violence.

Le suspect, Rodrigo Odones, âgé de 34 ans, a comparu le 21 janvier dernier et fait face à une accusation de meurtre au deuxième degré.



Vol qualifié sur la personne
Article mis en ligne le jeudi 20 janvier 2011

Le 12 janvier dernier, entre 20 h 40 et 21 h, un livreur de pizza se présente au 3777, rue Lacombe pour une commande à domicile. À la porte, le résident lui affirme qu'il n'a rien commandé. Sur le trottoir, un homme sort d'un véhicule rouge, stationné à l'est dans l'entrée du stationnement, l'agrippe au bras gauche et le tire vers lui. Il se met à fouiller les poches du jean que portait le plaignant sous la menace d'une arme pointée de la main droite. Le voleur s'empare de l'argent, du cellulaire et du portefeuille de sa victime avant de prendre la fuite en courant entre les stationnements vers la station de métro Côte-des-Neiges. Le suspect est décrit comme un homme aux yeux bruns, droitier, mesurant environ 1,70 m, 89 kg. Il parle français et portait un manteau jaune de style Canada Goose avec capuchon, un pantalon foncé et un foulard qui recouvrait son visage.



Attaquée au couteau
Article mis en ligne le jeudi 20 janvier 2011

Le 12 janvier, à 23 h 25, une femme qui marchait vers la pizzéria située en face du métro est prise en filature par trois jeunes hommes qui se trouvaient près du téléphone de l'édicule du métro Snowdon. Ils l'attendent sur le trottoir en compagnie d'un ou deux autres individus. Tandis que la plaignante s'engage sur la rue Fulton en direction est, l'un des suspects l'agrippe par la tête, un autre prend son sac à main, et le troisième l'attaque au couteau. Ils fouillent la victime qui est tombée sol et prennent son cellulaire. La victime voit un autre suspect avec un couteau. Un des suspect lui demande en anglais : « That's all you got? » Puis elle est rouée de coups de pieds à la tête et voit les crapules prendre la fuite en direction du métro Snowdon. Elle s'en tire avec une ecchymose à la tête et des blessures aux genoux, mais elle souffre de douleurs à la tête et au cou et est transportée au centre hospitalier. Le premier suspect est décrit comme un jeune homme de 18 à 20 ans, 1,70 m, environ 70 kg. Il portait une tuque et un manteau noirs et s'exprime en anglais. Le deuxième suspect est un autre jeune d'environ 18 ans, vêtu de noir et d'une tuque noir. Il n'y a aucune description du troisième suspect. Les armes impliquées sont des couteaux de cuisine.



Quand demander l'heure ne suffit pas
Article mis en ligne le jeudi 20 janvier 2011

Un vol qualifié sur la personne est survenu le 14 janvier dernier entre 21 h 50 et 22 h 25 près de l'intersection des avenues Victoria et Bourret. Après le travail, la plaignante entre dans un wagon du métro Côte-Vertu en direction de Montmorency. Elle s'asseoit, et quatre adolescentes, qui attendaient aussi sur le quai, s'assoient dans le même wagon. L'une d'elles, assise en face, lui demande l'heure. Pour répondre, la passagère sort son iPhone et dit « 21 h 56 ». L'adolescente lui dit alors: « Je te connais, toi! » Mais la victime ne répond pas. À la station de la Côte Sainte-Catherine, l'adolescente lui demande l'heure de nouveau. La victime décide alors de descendre à cette station, mais les quatre adolescentes aussi, et la plaignante se rend compte qu'elle est suivie. Elle prend la rue Victoria direction nord, puis s'arrête pour laisser passer les suspectes. Elles traversent la rue, et quelques pas plus loin, une des suspectes crie à la plaignante: « Did you call me a b****? » en revenant vers elle. La plaignante compose le 911, mais elle reçoit un coup derrière la tête et se fait pousser et frapper par le groupe d'adolescentes. Les suspectes partent en direction du métro Côte Sainte-Catherine avec le sac à main, le portefeuille et un chèque, le cellulaire et le baladeur numérique de leur victime. La première suspecte recherchée est décrite comme une adolescente d'environ 16 ans, 1,58 m, 58 kg, qui parle anglais et français. Elle a les cheveux frisés et portait un pantalon gris en coton ouaté, un manteau noir, et les cheveux détachés. La deuxième suspecte est âgée d'environ 16 ans et mesure environ 1,58 m. Elle est mince, et portait des lunettes, un jean bleu, et un manteau d'hiver de couleur violet. La troisième est également décrite comme une jeune d'environ 16 ans, 1,52 m. Elle portait un piercing dans la bouche. On ne possède pas de détails sur la quatrième suspecte.




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