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LES SÉANCES DU CONSEIL MUNICIPAL ![]() ![]() ![]() ![]() Conseil municipal du 31 mars L’aréna de Westmount aura droit à une cure de jeunesse Article mis en ligne le jeudi 10 avril 2008 La mairesse Karin Marks a fait une annonce qui réjouira sans doute les sportifs. Le conseil municipal projette d’effectuer des travaux de rénovation pour améliorer les installations de l’aréna de Westmount et de la piscine extérieure située à proximité. Depuis plusieurs années, la Ville effectuait divers travaux de réparation et de rénovation. Les fusions municipales ont toutefois forcé Westmount à reporter certains projets comme celui de l’aréna. Les défusions ont également entraîné des délais. En effet, l’administration souhaitait évaluer l’étendue de ses dettes avant de se lancer dans les travaux. Aujourd’hui, le conseil souhaite aller de l’avant avec le projet, mais désire tout d’abord recueillir les commentaires et les suggestions de la communauté. C’est pourquoi une séance de consultation publique se tiendra samedi, le 12 avril prochain entre midi et 17 h, au Victoria Hall. « Ce sera une consultation où nous écouterons les idées des citoyens et nous essaierons de les traduire en quelque chose de concret. Par la suite, il y aura une deuxième consultation publique qui prendra probablement la forme d’un sondage. […] Celle-là servira entre autres à savoir si nous avons l’appui de la population pour aller de l’avant avec le projet après avoir considéré tous les coûts que cela implique », explique la mairesse Karin Marks. [ Ariane Lafrenière ] ![]() ![]() Conseil municipal du 31 mars Les Actualités Westmount et la période de questions Article mis en ligne le jeudi 10 avril 2008 À la suite de la parution de sa lettre dans la dernière édition des Actualités Westmount, Patrick Barnard, résidant de Westmount, a pris la parole lors du conseil municipal tenu le 31 mars. En effet, il voulait savoir s’il était exact que le directeur général de la municipalité, Bruce Saint-Louis, avait demandé au journal d’arrêter la diffusion des séances du conseil sur le site Internet après avoir reçu des plaintes de citoyens mécontents. M. Saint-Louis a spécifié que « nous n’avons pas reçu de plaintes, mais ce qui est ressorti de l’entretien c’est le fait qu’ils mettaient en ligne la séance du conseil incluant la période de questions. Il y a des obligations légales à respecter avant d’enregistrer quelqu’un et de diffuser ses propos ». Comme les personnes se présentant au micro n’étaient pas averties qu’elles étaient enregistrées et que leur intervention pouvait être diffusée sur Internet, le directeur général juge que l’approche posait des problèmes légaux. Le fait que la séance soit publique et ouverte à tous ne change en rien les choses selon lui, « les conseillers sont des figures publiques qui peuvent être enregistrées » contrairement aux citoyens. M. Saint-Louis a également précisé qu’il avait reçu des avis juridiques sur cette question. [ Ariane Lafrenière ] ![]() ![]() Conseil municipal du 31 mars Début de la collecte des matières putrescibles Article mis en ligne le jeudi 10 avril 2008
La mairesse ajoute que « dans nos efforts pour promouvoir le développement durable et de regarder tout ce que ça implique, la question de la gestion des ordures est particulière-ment importante ». En effet, selon le rapport de Peter Kohl, Proposition préliminaire pour le Plan de développement durable de Westmount, depuis 2004, seulement 40 % des 14 000 tonnes de déchets créées chaque année à Westmount sont détournés de la décharge. Dès le 12 mai, le secteur 8 (situé entre le boulevard de Maisonneuve et la route de la Côte St-Antoine, de l’avenue Clarke à l'avenue Landsdowne) qui comprend 525 maisons et 311 unités d’appartements, sera le premier a bénéficié de cette collecte. Chaque ménage se verra attribuer un bac vert et une certaine quantité de sacs de compostage fait à base de fécule de maïs. Une fois par semaine, les bacs seront ramassés remplaçant ainsi une journée de collecte des ordures ordinaires. [ Ariane Lafrenière ] ![]() ![]() Conseil municipal du 25 février Westmount veut un seul compte de taxe Article mis en ligne le mercredi 12 mars 2008 Les relations avec Montréal demeurent une des principales préoccupations pour la Ville de Westmount. Lors du dernier conseil municipal, la mairesse Karin Marks a fait un retour sur les négociations concernant le projet de loi 22 entre les villes reconstituées et la métropole. Un des éléments remis en question dans ces discussions est la forme actuelle du compte de taxe. Karin Marks tient à l’adoption d’un seul compte de taxe pour les résidants, « nous souhaitons que le gouvernement nous donne ce qu’il a accordé à la Rive-Sud, c’est-à-dire un compte de taxe unique sur lequel la portion des taxes allant à l’agglomération et celle allant à la municipalité soient clairement identifiées ». Selon elle, « il y a un coût additionnel à recevoir deux comptes de taxe, mais il y a également une complication additionnelle ». « En ce qui nous concerne, ça n’a aucun sens, ça n’a jamais fait de sens », ajoute la mairesse. En effet, dans le mémoire sur la loi 22 présentée par l’Association des municipalités de banlieue de l’île de Montréal (AMB), la question d’un compte de taxe unique était déjà posée. Elle explique que « c’est toujours une bataille, nous ne l’avons pas encore gagnée, mais nous continuerons de nous battre. » Karin Marks a souligné que le projet de loi devait être soumis au vote de l’Assemblée nationale en avril et que son adoption était grandement tributaire de l’appui des partis d’opposition. En ce sens, elle a insisté sur l’importance d’arriver à des compromis acceptables pour l’AMB et la Ville de Montréal afin de favoriser l’adhésion au projet de loi 22. Le projet de loi 22, déposé par la ministre des Affaires municipales et des Régions, Nathalie Normandeau, propose diverses modifications aux dispositions législatives concernant au fonctionnement de l’agglomération de Montréal. Parmi ces recommandations, la ministre suggère la création d’un Secrétariat d’agglomération, indépendant de la Ville, qui aurait « pour fonctions de favoriser la circulation de l'information, de procéder à des vérifications sur tout aspect intéressant l'agglomération et de formuler des avis et faire des recommandations au conseil d'agglomération ». [ Ariane Lafrenière ] ![]() ![]() Conseil municipal du 25 février Le 311, un service strictement montréalais Article mis en ligne le mercredi 12 mars 2008
Plusieurs des recommandations paraissent banales, mais elles n‘en sont pas moins importantes : approcher les commerçants locaux pour les encourager à vendre des produits locaux, aménager une plus grande piste cyclable, favoriser l’utilisation de sources d’énergie alternative et instaurer des tarifs avantageux pour les faibles consommateurs d’eau par exemple. D’autres sont plus étonnantes comme la proposition de libérer des terrains afin de favoriser l’agriculture urbaine ou encore la mise sur pied d’un programme « tag-for-bag » pour lequel chaque propriétaire recevrait gratuitement un certain nombre d’étiquettes correspondant au nombre de sac d’ordures qu’il aurait le droit de mettre au chemin au cours d’une année. S’il excède cette quantité, le propriétaire devrait aller acheter des étiquettes supplémentaires. Le groupe de travail propose également que la Ville de Westmount équipe ses bâtiments d’un système de chauffage géothermique autant que possible. Dans leur rapport, les membres ont tenu à rappeler que leurs nombreuses recommandations ne représentent qu’un minimum des mesures qui doivent être mises en place pour assurer le développement durable de Westmount. Ils ont également souligné qu’en moyenne, dans le monde, chaque humain a besoin de 2,8 hectares de terre arable et d’eau pour vivre et pour assurer son train de vie, c’est ce que l’on appelle l’empreinte écologique. À Westmount, ce chiffre grimpe jusqu’à 7,5 hectares. En Amérique du nord, la moyenne est de 9,4 hectares par personne. La mairesse Karin Marks a accueilli favorablement le rapport et ses recommandations en assurant son enthousiasme pour le projet. [ Ariane Lafrenière ] ![]() ![]() Conseil municipal du 25 février Adoption officielle de l’Heure de la terre Article mis en ligne le mercredi 12 mars 2008 La Ville de Westmount soulignera le 29 mars prochain l’Heure de la terre en gardant éteintes les lumières de la plupart des édifices municipaux de la Ville entre 20 h et 21 h sauf pour ceux qui ont des activités et programmes de la Ville depuis longtemps planifiés. C’est ce qui a été annoncé au dernier conseil municipal, le 25 février dernier. La mairesse Karin Marks a invité les citoyens a participé à l’initiative non seulement en éteignant leurs lumières, mais aussi en réduisant leur consommation d’énergie pendant quelques heures. La Ville de Montréal a également annoncé qu’elle participerait à l’événement. Cette initiative mondiale a été créée dans le but de sensibiliser la population aux changements climatiques ainsi qu’à leurs conséquences néfastes sur l’environnement. [ Ariane Lafrenière ] ![]() ![]() Conseil municipal du 28 janvier Négociations tendues Article mis en ligne le mercredi 13 février Lors du dernier conseil de ville, la mairesse Karin Marks a fait un retour sur les négociations entre la Ville de Montréal et l’Association des municipalités de banlieue de Montréal au sujet des redevances pour l’élimination des matières résiduelles. Plusieurs mesures environnementales ont été émises dans le budget 2008 de la ville, comme la collecte des matières putrescibles. La Ville de Westmount avait élaboré ces propositions en tenant compte des redevances offertes par le gouvernement québécois à chaque municipalité. Ces mesures environnementales devaient entrer en vigueur dès mars, mais les négociations pour obtenir les sommes attendues n’avancent guère et les redevances sont bloquées par Québec. « Le gouvernement québécois a implanté ces incitatifs financiers pour encourager les villes à adopter des pratiques plus environnementales », explique Karin Marks. L’administration Tremblay veut gérer l’intégralité de la somme qui est destinée à l’île de Montréal, y compris l’argent qui devait revenir aux villes défusionnées. La mairesse, également présidente de l’Association des municipalités de banlieue de Montréal, s’y objecte, « étant une municipalité à part entière, [Westmount] devrait avoir les redevances au prorata de sa population, comme les autres villes ». « Nous croyons que les changements doivent se faire au niveau local, dans chaque maison », ajoute-t-elle. En juin 2006, le Règlement sur les redevances exigibles pour l’élimination de matières résiduelles est entré vigueur. Les entreprises et les villes doivent payer au gouvernement québécois un certain montant pour chaque tonne de déchets enfouis. Depuis le 1er janvier 2008, ces redevances sont de 10,41$ par tonne. Par la suite, Québec redistribue 85% des redevances aux villes québécoises pour qu'elles financent des programmes de recyclage. [ Ariane Lafrenière ] ![]() ![]() Conseil municipal du 28 janvier De nouvelles propositions pour le développement durable Article mis en ligne le mercredi 13 février
Plusieurs des recommandations paraissent banales, mais elles n‘en sont pas moins importantes : approcher les commerçants locaux pour les encourager à vendre des produits locaux, aménager une plus grande piste cyclable, favoriser l’utilisation de sources d’énergie alternative et instaurer des tarifs avantageux pour les faibles consommateurs d’eau par exemple. D’autres sont plus étonnantes comme la proposition de libérer des terrains afin de favoriser l’agriculture urbaine ou encore la mise sur pied d’un programme « tag-for-bag » pour lequel chaque propriétaire recevrait gratuitement un certain nombre d’étiquettes correspondant au nombre de sac d’ordures qu’il aurait le droit de mettre au chemin au cours d’une année. S’il excède cette quantité, le propriétaire devrait aller acheter des étiquettes supplémentaires. Le groupe de travail propose également que la Ville de Westmount équipe ses bâtiments d’un système de chauffage géothermique autant que possible. Dans leur rapport, les membres ont tenu à rappeler que leurs nombreuses recommandations ne représentent qu’un minimum des mesures qui doivent être mises en place pour assurer le développement durable de Westmount. Ils ont également souligné qu’en moyenne, dans le monde, chaque humain a besoin de 2,8 hectares de terre arable et d’eau pour vivre et pour assurer son train de vie, c’est ce que l’on appelle l’empreinte écologique. À Westmount, ce chiffre grimpe jusqu’à 7,5 hectares. En Amérique du nord, la moyenne est de 9,4 hectares par personne. La mairesse Karin Marks a accueilli favorablement le rapport et ses recommandations en assurant son enthousiasme pour le projet. [ Ariane Lafrenière ] ![]() ![]() Le développement durable entre les mains des municipalités Article mis en ligne le jeudi 22 novembre 2007
« La viabilité d’un développement durable requiert que nous, individuellement et collectivement, nous impliquons. Et qui de mieux placés que les élus municipaux, les premiers fournisseurs de services, pour en assumer le leadership ? »,pense Karin Marks, qui reconnaît que le défi d’un « Westmount durable » est que chaque citoyen accepte d’avoir un rôle à jouer. Lorsque la mairesse discute de développement durable, c’est en ayant une vision panoramique de la chose. Elle évoque les constructions vertes, la sécurité des rues, l’accessibilité aux transports collectifs, la possibilité de faire des activités physiques et la préservation du patrimoine comme autant d’éléments essentiels à une ville où il fait bon vivre. Optimiste, elle pense que « des changements sont possibles à Westmount, car nous avons une population bien éduquée ». Elle juge qu’il est essentiel pour les collectivités de se doter d’un plan d’action et d’objectifs précis en matière d’environnement. « On peut continuer à avancer en pensant qu’on fait bien les choses. Mais lorsque l’on analyse nos actions, on réalise souvent que l’on ne fait pas aussi bien les choses que ce que l’on pensait », a-t-elle constaté, en réitérant l’importance pour une communauté de développer une vision et des valeurs communes. ![]() ![]() ![]() |