Mardi 13 Mars 2012  
L’arrondissement de Côte-des-Neiges—Notre-Dame-de-Grâce (CDN—NDG) a officiellement fermé ses patinoires extérieures en après-midi aujourd’hui, en raison du temps doux.




























EN DIRECT DES PDQ

Des videurs tabassés
Article mis en ligne le jeudi 8 mars 2012

Deux videurs ont été agressés et légèrement blessés par trois hommes le 24 février dernier au Cabaret Les Amazones sur la rue Saint-Jacques, à NDG.

Vers 22 h, les videurs demandent à trois hommes qui portaient des pantalons de jogging de sortir du Cabaret pour violation au nouveau code vestimentaire en vigueur au club de danseuses érotiques.

Comme le groupe d’indésirables refuse de partir, les videurs l’escortent vers la sortie. En arrivant en haut de l’escalier, l’un des hommes assène un coup au visage du videur et le tient solidement par une prise de tête.

Le second videur tente de secourir son partenaire de service, mais il est assailli par deux hommes. Une bagarre s’ensuit, mais les videurs parviennent à les expulser. L’un des trois agresseurs se retourne au moment de leur fuite pour les intimider et proférer des menaces de mort.

Deux suspects fuient à pied et le troisième déguerpit au volant d’un véhicule. Peu après, des patrouilleurs du SPVM interceptent le fuyard sur l’autoroute grâce à l’information fournie par les victimes de l’agression. Elles avaient noté la plaque d’immatriculation de la voiture qui s’était garée dans le stationnement du Cabaret, ainsi que la direction dans laquelle elle était partie.

L’un des videurs a subi des lacérations au visage qui ont nécessité des points de suture. Son partenaire de service a subi de légères lacérations au visage et aux bras.

Le prévenu, 48 ans, est un résident de Lachine. Il fait face à des accusations de voies de fait et d’autres accusations pourraient être portées contre lui. Les deux autres suspects recherchés par le SPVM sont également décrits comme des hommes de race noire.

Le SPVM demande à toute personne qui a de l’information sur ce crime ou tout autre acte criminel de contacter Info-Crime au 514 393-1133 ou de texter à Info-Crime au 274637.




Agressé par son voisin
Article mis en ligne le jeudi 8 mars 2012

Le Service de police de Montréal (SPVM) demande l’aide du public concernant une agression à l’eau de Javel survenue le 19 février dernier dans le district de Darlington.

Vers 14 h 30, le plaignant qui habite dans un immeuble à logements de la rue Goyer s’est présenté au poste de police 26 pour y déposer une plainte contre son voisin.

Selon le rapport de police, une personne venait de frapper chez le plaignant, et il avait donc ouvert la porte pour répondre. Il s’agissait de son voisin. L’homme l’attendait avec un bouchon dans la main et l’aurait aspergé de solution liquide oxydante.

Le plaignant ajoute qu’il est allé de toute urgence prendre une douche et se laver le visage pour se débarrasser de tout le liquide corrosif répandu sur son chandail. Il est ensuite ressorti pour interpeller son agresseur, mais le suspect se serait alors lancé à sa poursuite. Les poings serrés, il menaçait de le frapper et de le tuer.

D’après le plaignant, ce voisin est connu comme un fauteur de troubles dans l’immeuble. Il le décrit comme un homme d’environ 50 ans, qui parle français, de race noire, aux cheveux courts, noirs et grisonnants.

Le suspect fait face à une accusation d’agression armée.




Vol à la tire
Article mis en ligne le jeudi 23 février 2012

Le SPVM met en garde la population contre un couple de voleurs à la tire qui a détroussé des clients à Notre-Dame-de-Grâce.

Le 7 février, entre 13 h et 14 h, deux clients prenaient un café au Starbucks sur l’avenue Monkland à une heure peu achalandée lorsqu’un homme et une femme de 32 à 42 ans entrent et viennent s’installer bruyamment et sans gêne à la table d’à côté.

L’homme se met à chanter, et les intrus n’arrêtent pas de faire des bruits et de bousculer la chaise des clients installés à la table voisine.

Ne trouvant plus son portefeuille dans son sac à main, une quinzaine de minutes après leur départ, la cliente se rend compte qu’elle a été détroussée pendant que les chahuteurs ont détourné son attention.

En téléphonant à la banque, elle apprend de plus que le voleur a déjà utilisé frauduleusement sa carte de crédit pour faire des achats vers 16 h 15.

Le portefeuille contenait ses cartes personnelles et ses cartes de crédit.

Le suspect est décrit comme un homme à peau mate de 35 à 42 ans. Il chantait et parlait d’une voix forte en espagnol.mIl mesure entre 5 pieds 7 pouces et 5 pieds 9 pouces. La suspecte a 32 à 42 ans et mesure entre 5 pieds 2 pouces et 5 pieds 4 pouces.

L’agent sociocommunautaire du poste de police 11, Peter Mandelos conseille aux clients de restaurants de toujours garder leurs sacs dans leur champ de vision, devant eux et hors de portée des voleurs à la tire professionnels.

Si vous avez des informations à propos de ces cas, vous pouvez contacter Info-Crime de façon anonyme au 514 393-1133.




Des bambins bousculés pour un vol
Article mis en ligne le jeudi 23 février 2012

Le Service de police de Montréal (SPVM) est à la recherche de deux suspects qui ont dérobé le sac à main d’une piétonne.

Le soir du 14 février dernier, une mère de famille s’éloigne de la Plaza Côte-des-Neiges vers 19 h 30 et rejoignait l’avenue Légaré par le stationnement après être sortie par la porte située près de Canadian Tire. Près de l’intersection, deux hommes rejoignent la femme de 35 ans et ses deux enfants âgés de 4 ans et 2 ans respectivement. Ils la suivent à pied, l’un à sa gauche et l’autre à sa droite. À l’angle des avenues Légaré et Barclay, l’un des suspects bouscule alors l’une des fillettes assises dans la poussette en s’emparant du sac à main de leur mère. Il s’enfuit avec son butin et son comparse sous le regard bouleversé de la victime.

La victime décrit le suspect comme un jeune de race noire qui parlait anglais. Il était mince et portait une tenue de style hip-hop avec un chandail à capuchon de teintes de gris pâle et foncé et une casquette avec palette noire.

Elle décrit le second suspect comme un homme de race noire, environ 22 ans, 1,68 m. Il parlait anglais et français. Ses yeux sont petits et il avait plusieurs boutons d’acné sur la joue droite. Il portait également un chandail à capuchon blanc et une casquette à palette noire. Il tenait un sac de chez Dollarama.




Vol qualifié dans un commerce
Article mis en ligne le jeudi 23 février 2012

Un homme a perpétré un vol qualifié dans un dépanneur situé au 5455, boulevard Décarie le 15 février dernier.

Arrivé par le nord, le suspect entre dans le magasin vers 6 h en laissant un objet cylindrique dans le mécanisme de la porte pour l’empêcher de se refermer.

Au comptoir, il ordonne au commis de lui « donner la caisse ». En parlant français, il répète l’ordre en disant cette fois : « Le cash... vite vite! »

Comme le commis n’arrive pas à ouvrir la caisse enregistreuse, le gérant lui vient en aide et place le tiroir sur le comptoir.

Le voleur s’empare de billets de 5 $ et de pièces de 2 $ et de 1 $ avant de prendre la fuite en direction est sur l’avenue Édouard-Montpetit.

Le suspect est décrit comme un homme de race blanche d’environ 25 à 30 ans, 1,72 m, 82 kg. Il a des cicatrices d’acné et de grandes mains. Il avait les cheveux très courts, châtains, et la tête recouverte du capuchon de son chandail kangourou gris pâle avec Nike inscrit en blanc sur le devant. Il portait un jean bleu, des bottes de travail. Il tenait un tournevis à manche jaune.




Un chauffeur de taxi agressé
Article mis en ligne le jeudi 8 février 2012

La police de Montréal est à la recherche d’un homme à la suite d’une agression qui s’est produite le 27 janvier dernier à l’intersection de la rue Sherbrooke et de l’avenue de Marlowe. Vers 4 h 15, un chauffeur de taxi conduisait un certain client qui avait commandé une course entre la rue Crescent, au centre-ville, et l’intersection Sherbrooke et Prud’homme à Notre-Dame-de-Grâce. Pendant un arrêt à l’intersection Sherbrooke/Marlowe, l’individu qui n’avait plus parlé pendant le trajet est rapidement sorti du taxi pour fuir sans avoir payé le service. Le chauffeur est sorti en un éclair et a rattrapé de justesse le fugitif par le bras. Mais le fautif l’a mordu pour le forcer à lâcher prise et il s’est enfui en courant. Vers 4 h 30, encore sous le choc et ne sachant plus que faire, la victime est retournée au garage de la compagnie, et elle a dû être transportée par service de taxi à l’Hôtel-Dieu de Montréal à cause de la morsure à la main et de douleurs à l’épaule. L’agresseur est décrit comme un homme d’environ 30 ans, 1,77 m et de taille mince. Il parle anglais et portait des vêtements de couleurs foncées. On ne connaît pas le montant exact de la facture non payée. Le Service de police de la Ville de Montréal demande à toute personne qui aurait des informations à propos de ces cas de contacter Info-Crime.




Vol de sac à main avec agression
Article mis en ligne le jeudi 8 février 2012

La police de Montréal est à la recherche d’un homme qui a volé le sac à main d’une résidente dans le district de Notre-Dame-de-Grâce. Le vol à la tire s’est produit le 22 janvier dernier à 11 h 40 pendant que la femme, âgée de 64 ans, marchait sur le chemin de la Côte Saint-Luc à la hauteur du chemin Walkley. L’individu est arrivé par derrière la piétonne et a tenté de s’emparer du sac à main qu’elle tenait. La victime a perdu l’équilibre à cause de ce geste brusque et s’est retrouvée au sol. Le voleur a profité de sa mauvaise posture pour s’emparer de son butin, puis s’est enfui en courant en direction sud sur l’avenue Montclair. Un témoin faisant le plein à la station Ultramar a été alerté par les cris angoissés de la victime qui appelait à l’aide. Un jeune homme, également témoin, s’est lancé à la poursuite du fuyard. Mais ce dernier lui a échappé en sautant par-dessus une clôture après avoir lancé le sac de l’autre côté, puis en rejoignant l’avenue Walkley en arrivant par l’arrière. L’accessoire féminin de la victime contenait entre autres un portefeuille avec ses cartes d’assurance-maladie et d’assurance sociale, son permis de conduire, un certain montant d’argent, les clés de son véhicule et de son appartement, ainsi que son téléphone BlackBerry. La sexagénaire n’a heureusement point subi de blessures. Les témoins décrivent le suspect comme un homme blanc de 1,77 m, 72 kg. Il portait une veste à capuche noire, un pantalon noir et des chaussures noires.




Mise au jour d’une culture de marihuana
Article mis en ligne le jeudi 26 janvier 2012

Les policiers du Service de police de Montréal ont découvert une installation de culture de marihuana dans un immeuble situé sur l’avenue Linton, dans le quartier de Côte-des-Neiges.

Le 13 janvier dernier, à 7 h 30, alors que des policiers étaient venus en renfort pour une enquête dans un cas d’entrée par effraction dans un appartement de l’immeuble, un policier a découvert l’installation de culture de marihuana par hasard.

L’agent s’était placé en arrière de l’immeuble à logements pour l’opération policière, lorsqu’il a détecté une odeur de marihuana. Les policiers l’ont suivie jusqu’à un appartement. Là, ils ont constaté que les vitres des fenêtres et de la porte de l’appartement étaient barricadées et recouvertes de toiles de tissu, de papier et de plastique. L’odeur de marihuana provenait bien de cet endroit.

Les policiers sont rentrés dans l’immeuble pour entrer par la porte, mais ils se sont retrouvés devant une porte barricadée. Il y avait de la silicone tout autour de la porte et il leur a été impossible de pénétrer à l’intérieur.

L’opération policière a alors été confiée à la brigade de stupéfiants du SPVM.

[ Marie Cicchini ]





Le grappin sur un revendeur de drogue
Article mis en ligne le jeudi 26 janvier 2012

Le Service de police de Montréal a mis le grappin sur un petit revendeur de stupéfiant dans un bar situé à l’intersection des avenues Gatineau et Lacombe du quartier de Côte-des-Neiges.

Le 13 janvier dernier à 2 h 10, les policiers reçoivent un appel du bar. Il s’agit d’un conflit envenimé entre des clients.

En arrivant, les policiers voient un individu et le reconnaissent. Ils voient un sac à bandoulière accroché à sa chaise.

Alors que le policier allait à la rencontre de l’homme pour faire enquête, le suspect l’a vu s’avancer de lui. Il s’est levé et est allé s’assoir sur une autre chaise en laissant son sac derrière lui, sur la chaise.

Les policiers ont fait la vérification de routine et ont découvert que cet homme était également visé par un mandat d’arrêt.

Alors qu’ils exécutaient le mandat, les policiers ont détecté une odeur de marijuana venant du prévenu. Pendant la fouille manuelle, un policier a mis la main sur de la marijuana. Le sac du suspect contenait également 64 sachets remplis de végétaux verdâtres.

Le suspect devra répondre à des accusations de possession de drogue et de trafic de stupéfiants.

[ Marie Cicchini ]





Un cauchemar de toxicomane
Article mis en ligne le jeudi 15 décembre 2011

Un jeune homme doit sûrement regretter d’avoir fait confiance à un soi-disant ami. La victime qui habite à Montréal depuis juin 2010 l’avait rencontré il y a environ 7 ans, au Manitoba. Il y a environ trois mois, cet « ami » lui téléphone pour lui demander s’il peut emménager chez lui, dans un immeuble à logements sur le chemin Côte-Sainte-Catherine. Ils passent une entente d’hébergement, mais dès que le colocataire arrive à Montréal, les problèmes commencent. À l’aéroport, le voyageur dit qu’il n’a pas d’argent. Son comportement évoque l’influence d’une drogue dure. Il est très agressif et ne ressemble guère à l’« ami » du Manitoba. Le 23 novembre dernier, à 7 h, le colocataire entre dans la chambre du plaignant et demande une clé pour l’entrée principale de l’immeuble. Pendant une discussion enflammée, le plaignant lui demande : « Please be nice with me », pour que le ton reste poli. Le suspect devient agressif et réplique : « I don’t care. You have to give it to me right now. You don’t have a choice. » Le plaignant refuse parce que l’individu n’a rien payé comme loyer et le maltraite, et il reçoit la même réplique, quoiqu’abrégée, mais plus brutale avant d’être roué de coups portés avec les mains et les pieds. Il ordonne à son agresseur de cesser en se protégeant le visage avec les mains et les avant-bras, mais l’autre est hors de contrôle. Il profère des menaces de mort, l’avertit qu’il ne blague pas et dit « I warned you ». Après environ cinq minutes, la victime parvient à se libérer, prend une chaise avec laquelle il maintient fermement son agresseur épinglé pour ne plus recevoir de coups. Comme l’agresseur ne cesse pas d’exiger une clé, il lui donne pour en finir et appeler la police. Le suspect a été arrêté et doit faire face à un chef d’accusation pour vol qualifié sur la personne.



Charqui et chocolat
Article mis en ligne le jeudi 15 décembre 2011

Deux voleurs ont doublé la recette pour rester plus longtemps dans le panier à salade. Dans le dépanneur Ultramar situé au 6905 Sherbrooke Ouest, la caissière est seule le 26 novembre quand les hommes entrent à 4 h 34. L’un des deux va directement lui parler et l’autre va en arrière du magasin. Pendant qu’il remplit un sac de tablettes de chocolat et de charqui au bœuf, son complice qui parle avec la caissière se met à menacer l’employée. Effrayée, la jeune femme de 19 ans, résidente de NDG, appuie sur le bouton d’appel au secours, mais les voleurs s’enfuient rapidement avec le sac plein en direction nord sur l’avenue Mariette. Sur l’avenue Somerled, un agent dans une voiture-piège les repère et les prend en filature avant d’appeler des renforts de la police. L’arrestation a lieu. En plus de saisir pour plus de 350  $ de « jerky » et de chocolat, les policiers fouillent les suspects et trouvent de la drogue dure sur eux, « sans doute du crack », selon Peter Mandelos du poste de police 11. Les prévenus font face à des accusations de vol qualifié dans un commerce et possession de drogue. L’un des prévenus, 35 ans, est un résident de Lachine, et son complice, 27 ans, est résident de Côte-des-Neiges.



Connaissez-vous PhoneBusters ?
Article mis en ligne le jeudi 15 décembre 2011

Une septuagénaire s’est rendu compte trop tard qu’il n’y avait personne dans sa famille qui était hospitalisé après avoir envoyé des centaines de dollars pour l’aider à se soigner à un inconnu… qui était plutôt un fraudeur. Il s’agit d’un stratagème répandu sous plusieurs variantes qui réussit encore trop souvent. Ce cas est un bel exemple du modus operandi de ces fraudeurs. L’histoire commence par un appel le 22 novembre dernier. La femme de 76 ans, une résidente de NDG, est chez elle. L’individu au téléphone lui raconte qu’ « ils » ont besoin d’argent rapidement parce qu’un membre de la famille de la dame est hospitalisé et a besoin d’environ 8000 $ ou 9000 $ pour se faire soigner. Il lui dit de faxer de l’argent et promet qu’elle sera remboursée. En une semaine, elle reçoit cinq appels de ce genre et chaque fois, elle envoie plus de 900 $. L’argent est envoyé à deux femmes et deux hommes, selon les instructions qu’ils lui fournissent. La septuagénaire le fait simplement parce qu’elle craint pour la vie d’un membre de sa famille. Comme cela fait plusieurs appels qu’elle reçoit, elle appelle la famille de celui qui était à l’hôpital. On lui répond que tout le monde se porte bien et que personne n’est à l’hôpital. Les policiers ont pris le rapport de la victime. Ils l’ont dirigée vers PhoneBusters, le Centre antifraude du Canada relié à la GRC pour aider les personnes âgées victimes de fraude. « Personne ne l’a jamais avertie de se méfier dans l’établissement qui a fait le transfert d’argent. Mais si quelqu’un vous téléphone pour vous demander de l’argent, n’y pensez pas et ne donnez pas d’argent », conseille l’agent sociocommunautaire Peter Mandelos. Il faut également supprimer les pourriels de ce genre pour ne pas devenir soi-même victime de fraudeurs.



Agression armée
Article mis en ligne le jeudi 1er décembre 2011

Croyant sans doute bien faire pour signaler un comportement fautif à un conducteur, un homme de Saint-Léonard et un homme de Laval qui circulaient dans une voiture sur la rue Sherbrooke près de Northcliffe ont vu de près le trou d’un pistolet. Le conducteur circule en direction ouest sur Sherbrooke près de Décarie lorsqu’il remarque un chauffard. À l’intersection Décarie, il regarde le suspect et lui demande pourquoi il conduit comme un fou. Le chauffard réplique : « Do you have a problem ? » Il commence une dispute, puis sort de sa voiture pour aller chercher un pistolet noir, automatique, dans son coffre arrière. Il le pointe en direction du plaignant et lui dit : « Si tu veux de battre, on se bat  », et s’enfuit sans attendre en direction de Décarie Sud. Le plaignant se gare pour signaler le véhicule au 9-1-1. Le suspect, environ 25 ans, 5 pi 7 po, portait une petite barbiche et un chapeau bleu. Il conduisait un véhicule comme une Lexus, 4 portes, verte.



Tel est pris qui croyait prendre
Article mis en ligne le jeudi 1er décembre 2011

Une jeune femme croyant pouvoir se procurer un chien frauduleusement à la SPCA s’est dénoncée elle-même à la police quand elle s’est rendu compte que son cellulaire était resté sur les lieux. Le 22 novembre dernier, à 14 h, la femme arrive à la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) située au 5215, rue Jean-Talon. Accompagnée d’un enfant d’environ 7 ans, elle regarde plusieurs chiens et s’en va. Vers 16 h, elle revient avec deux enfants d’environ ans et une femme plus âgée qu’elle, mentionne qu’un certain chien lui appartient, qu’elle l’a perdu. L’employée lui pose des questions, trouve cette situation louche, et lui donne la fiche de chien perdu à remplir. En lisant la description, elle voit que le chien s’appellerait Sammy. Mais il se trouve que « Sammy », le chien qu’elle veut, est le nom que la SPCA a donné à cet animal lorsqu’il a été trouvé. Pressée de dire son nom ou de s’en aller, la suspecte se met à crier. Elle crie « vous ne voulez pas me remettre mon chien… je vais prendre mon chien quand même… », puis elle se dirige vers sa cage. L’employée la suit malgré ses cris. Tout à coup, à une distance de 5 m, elle reçoit dans le torse, près du cou, un bibelot assez lourd lancé comme un projectile que la suspecte avait saisi sur le comptoir de la réception en se dirigeant vers la sortie. Encouragée gentiment par un autre employé à quitter les lieux, la suspecte sort sans ramasser le cellulaire qu’elle avait laissé tomber par mégarde. La victime la suit jusqu’à l’extérieur, mais elle reçoit une gifle de la suspecte qui essaie de prendre l’appareil de ses mains. Un autre employé récolte une prise de tête et un coup au visage en essayant de la photographier dans le stationnement. La suspecte s’enfuit en manœuvrant dangereusement dans le stationnement avec deux enfants dans son véhicule. Vers 16 h 28, la fraudeuse agressive appelle la police. Elle informe qu’elle a physiquement agressé des employés de la SPCA et oublié son cellulaire sur place. La femme de 19 ans devra répondre d’un chef d’accusation pour agression armée. D’autres accusations pourraient être portées contre elle pour tentative de vol de chien.



On ne joue pas avec un couteau
Article mis en ligne le jeudi 1er décembre 2011

Un enfant de 10 ans a sans doute eu la peur de sa vie lorsque trois jeunes à peine plus vieux que lui ont tenté de le dérober sous la menace d’un couteau. Le 25 novembre, vers 13 h 25, l’enfant retourne à l’école Bedford vers 13 h après avoir mangé son repas chez lui sur l’avenue Linton. En traversant le terrain de soccer du parc de Kent, il voit quatre jeunes qui ont l’air de se quereller, pour jouer, près de l’estrade. Il voit l’un d’eux le regarder et le saluer de la main, comme s’il le connaissait. Il continue son chemin sans répondre, lorsque l’un d’eux l’aborde et lui dit « Donne-moi ton argent. » Il continue de marcher, mais l’adolescent s’approche et répète plusieurs fois sa demande. Tout à coup, la petite victime voit un couteau dans la main gauche du suspect qui lui répète « Donne-moi ton argent », entouré de trois des quatre jeunes qui riaient. Le quatrième n’est plus avec eux. La victime se sauve en courant rapidement jusqu’à l’école, non suivie par les adolescents. Elle raconte ce qui lui est arrivé à un ami, qui rapporte l’histoire à un professeur. La direction de l’école intervient et appelle la police. Selon la victime, celui qui tenait le couteau serait d’origine arabe, 13 ans, 5 pi, parle français et portait une casquette noire avec le dessous de la palette verte, un chandail noir et un pantalon ample, ainsi qu’un sac à dos de marque Hansport. Le deuxième suspect serait d’origine arabe, environ 13 ans, cheveux courts et frisés. Il portait un chandail blanc, un pantalon bleu et des lunettes. Selon la victime, c’est lui qui avait l’air de dire aux autres quoi faire. Le troisième serait d’origine philippine, environ 13 ans, il portait un chandail blanc, un pantalon bleu foncé, des lunettes et un sac à dos. L’enfant a reçu tous les services, selon l’agent sociocommunautaire du poste de police 26, Elizabeth Kraska. Elle rappelle aux parents que les journées sont plus courtes en hiver. « Si les enfants jouent dehors la nuit, ils doivent jouer sur les côtés illuminés de la rue. Si possible, mères, pères, accompagnez vos enfants à l’école ou à la garderie à l’aller et au retour. Ne confiez pas la garde d’un enfant de 4 ou 5 ans à ses grands frères ou grandes sœurs de 10 ou 11 ans ».



Un nouveau « look » pour le cancer de la prostate
Article mis en ligne le jeudi 16 novembre 2011

 
Photo: Gracieuseté

En novembre, plusieurs hommes reviennent au style moustachu. Ils s’associent ainsi au mouvement « Movember » qui existe un peu partout dans le monde, et depuis cinq ans au Canada. Ce mouvement a pour but de sensibiliser la population à l’importance de la santé masculine.

Au Canada, il recueille des fonds pour le cancer de la prostate. Plusieurs policiers du Poste de quartier 11 ont décidé de porter la moustache afin de participer également à ce mouvement. Si vous le remarquez, cela pourrait faire une différence.




Vol qualifié
Article mis en ligne le jeudi 16 novembre 2011

Le 7 novembre, vers 22 h 40, deux commis travaillent dans un commerce situé au 2635, avenue Van Horne. Un jeune employé de 20 ans est derrière le comptoir avec un client quand deux hommes masqués entrent dans le magasin. Il voit le premier suspect courir vers la salle des employés située dans l’arrière-boutique et le perd de vue. Le second suspect s’approche des personnes derrière le comptoir, couteau au poing, et ordonne en français : « Ouvre-moi la caisse ». Le plaignant ouvre la caisse enregistreuse et s’éloigne un peu. Le bandit s’empare de l’argent et court rejoindre son complice dans l’arrière-boutique. Ils s’enfuient par la porte arrière. Le premier suspect masqué mesure environ 5 pi 9 po. Le second suspect, vêtu de noir, avait un foulard sur le visage, des lunettes de soleil, une capine et une casquette. Son arme est un couteau de boucher de 10 po en acier inoxydable, qu’il tenait de la main droite.



Surveillez votre courrier
Article mis en ligne le jeudi 16 novembre 2011

Au cours des prochains jours, surveillez bien votre courrier. Le 7 novembre dernier, à 12 h 39, un facteur de Poste Canada qui faisait sa distribution près des avenues Van Horne et Decelles, s’est fait voler le trousseau de clés qui ouvre les boîtes aux lettres. Au moment où l’employée de la Poste ouvre une grande boîte aux lettres, un homme s’approche d’elle furtivement, la pousse par la droite pour s’emparer des clés, puis s’éclipse. La police recherche un homme d’environ 25 ans aux cheveux noirs, de stature moyenne, 1,82 m, 86 kg. Il portait un foulard noir plié en triangle pour cacher son visage, une casquette noire à motif doré, un pantalon noir et manteau gonflé de style blouson d’aviateur. La police croit que le voleur voudrait voler des chèques afin de les encaisser. Au cours des prochains jours, les résidents du secteur Van Horne/Decelles devront surveiller étroitement leur boîte aux lettres pour s’assurer qu’ils reçoivent bien le courrier qu’ils attendent et ramasser le courrier aussitôt que le facteur passe.



Il ne l’aura pas volée
Article mis en ligne le jeudi 16 novembre 2011

Un voleur qui voulait simplement échanger 1 $ pour de la monnaie a récolté bien plus : la caisse enregistreuse comme projectile. Mais il ne l’a pas emportée. Le 10 novembre, vers 23 h 25, un homme entre dans le dépanneur situé au 5700, chemin de la Côte Saint-Luc. Il se dirige directement vers le commis et lui demande de la monnaie pour 1 $. Aussitôt que le commis ouvre la caisse enregistreuse, le filou s’empare d’un billet de 50 $ sur le dessus. Au moment où il tend encore la main, un second commis arrive, saisit la caisse enregistreuse et la projette contre le suspect, qui fuit sans demander son reste. La valeur du vol s’élève à au moins 50 $. La police recherche un suspect décrit comme un homme de 30 ans, 165 lb, 5 pi 10 po. Il parle français et anglais et portait une barbe partielle.



Une sieste qui tombe mal
Article mis en ligne le jeudi 16 novembre 2011

Une femme âgée qui venait de sortir de l’argent d’un guichet automatique a été dérobée non loin de la banque après s’être endormie sur un banc public près de l’intersection de la rue Sherbrooke et de l’avenue Benny. Le 8 novembre, entre 15 h 30 et 16 h 30, la plaignante, âgée de 89 ans, va au guichet automatique bancaire situé dans un dépanneur, puis à la banque au coin de la rue. Une femme qui la suit l’aborde et lui offre de l’aide pour quoi que ce soit. La plaignante répond « No, thank you. » Comme elle est à pied et fatiguée, elle s’assoit sur un banc public, où elle s’endort. La femme qui la suit s’assoit à côté d’elle, s’empare du portefeuille qui est dans le sac de sa victime et s’enfuit. L’agent sociocommunautaire Peter Mandelos du poste de quartier 11 conseille aux utilisateurs de guichets automatiques de ranger l’argent dans une poche ou de le cacher avant de sortir. La police recherche une femme d’environ 60 ans, 5 pi 7 po, de petite ou moyenne stature. Elle avait les cheveux noirs et grisonnants, longs, attachés en queue de cheval. Elle aurait volé 200 $ en argent comptant, le portefeuille contenant ses cartes de crédit, une carte d’assurance-maladie, ses cartes de banque et d’autres documents.



Couteau et barre de fer
Article mis en ligne le jeudi 16 novembre 2011

Un jeune de 17 ans garde sans doute des séquelles d’une sauvage agression qu’il a subie le 7 novembre dernier, à 20 h 15 dans le coin des avenues Mountain Sights et Paré. Un groupe de jeunes adultes était à l’extérieur lorsque plusieurs suspects abordent deux d’entre eux et leur demandent tout l’argent qu’ils ont. L’un des deux, âgé de 16 ans, refuse de leur donner son argent. Un des suspects sort alors un couteau de cuisine en acier inoxydable et frappe le jeune. La victime bloque le coup de couteau de la main gauche. Sa main a une coupure et saigne. Il reçoit alors un coup de barre de fer en plein visage et s’étale sur le sol, inconscient. Quand il revient à lui, il est couché au sol, et il y reste jusqu’à l’arrivée des services d’urgence. Il n’a pas de description de ses agresseurs. La police demande à tout témoin de cette agression ou à toute personne qui possède de l’information en lien avec cet incident de contacter Info-Crime au 514 393-1133.



Vol qualifié
Article mis en ligne le jeudi 3 novembre 2011

Les policiers répondent à un appel à l’entrée du 3665, avenue Ridgewood où un plaignant rapporte qu’une agression a été commise contre lui par trois hommes. Alors qu’il actionne la télécommande du garage, le corps à moitié sorti de son véhicule rouge, un homme sort d’une Mercedes et lui demande : « Est-ce que tu me reconnais? » Un deuxième suspect sort d’une Corolla garée non loin de là et s’approche à son tour en disant  : « Est-ce que tu me reconnais? » Il assène plusieurs coups de poing au plaignant. Un troisième suspect arrive et frappe le plaignant au dos. Pendant l’échauffourée, le plaignant est envoyé au sol. Le conducteur de la Mercedes remonte dans sa voiture et s’enfuit. L’un des trois agresseurs s’enfuit avec le véhicule rouge du plaignant, et l’autre repart dans la Corolla. Le premier suspect est décrit comme un homme de blanc, 1,80 m, 87 kg de stature musclée. Il avait les cheveux roux et courts et portait des lunettes, un chandail gris et un jeans bleu clair. Le deuxième suspect est blanc, 1,80 m, 85 kg, de stature musclée. Il avait la tête rasée, une petite barbiche, et portait un chandail blanc avec des jeans. Le troisième, est un homme au teint foncé, 1,90 m, 90 kg, de stature musclée. Il avait les cheveux ras, une petite barbiche, et portait un chandail blanc à manches longues et un t-shirt noir avec des brillants par-dessus.



Short jaune et bas collants
Article mis en ligne le jeudi 3 novembre 2011

Le 11 octobre dernier, un plaignant rapporte qu’il était assis sur un banc en tenant son iPhone à l’extérieur du métro Côte-des-Neiges, à 12 h 30, lorsqu’un homme a tenté de lui arracher son cellulaire. Ayant échoué, le suspect lui dit alors « Give me your phone » en bombant le torse et en le menaçant de ses poings. Le plaignant lui répond de s’en aller et, à son grand soulagement le suspect y renonce et part à pied. Le suspect est décrit comme un homme costaud au teint basané, qui portait un short avec des bas collants. Un autre témoin de l’incident ajoute à cette description que le short est jaune. Mais ce n’est pas tout. Pendant que les policiers ratissent le secteur, ils répondent à un second appel dans un café au 5206, chemin de la Côte-des-Neiges, où des gens détiennent un homme agressif qui a tenté de dérober un client. Le suspect est décrit comme un homme de 30 ans, qui porte un short jaune, un chandail blanc et un manteau de cuir. La victime de ce vol rapporte aux policiers qu’elle était installée au 2e étage du café avec son portable, quand le suspect s’est emparé de la montre et du cellulaire qui étaient sur sa table. Elle a retenu brièvement le voleur par le bras. Le propriétaire du café a tenté d’arrêter le fuyard, mais le suspect l’a poussé et a brandi un morceau de bois d’environ 10 cm en lui disant que c’était un couteau. Le propriétaire doué en arts martiaux est parvenu à désarmer le suspect et à le maintenir au sol jusqu’à l’arrivée des policiers. Le suspect fait face à plusieurs accusations, notamment pour agression armée.



Vol de sac à main
Article mis en ligne le jeudi 3 novembre 2011

Le 2 octobre dernier, à 18 h 40, les policiers répondent à un appel à propos d’un vol qualifié survenu au coin de la rue Jean-Brillant et l’avenue Westbury. La victime est une résidente du boul. Edouard-Montpetit qui s’est fait voler son sac à main. Les policiers patrouillent tout le secteur et le métro Snowdon à la recherche du suspect et retrouvent au sol, devant le 5000, rue Jean-Brillant, le baladeur numérique de la victime. Son sac à main contenait un petit montant d’argent, un cellulaire Samsung, un portefeuille, un trousseau de clés et un boîtier de cigarettes bleu. Le suspect recherché est de stature mince. Il portait un jean ample et un chandail à capuchon rouge avec une inscription sur le devant.



Une lâcheté peu commune
Article mis en ligne le jeudi 3 novembre 2011

Le 22 octobre, vers 18 h, une conductrice gare son véhicule à la station service Esso à l’angle de la rue Sherbrooke et du boulevard Décarie à cause d’une crevaison survenue non loin de là. Un homme l’aborde pour l’aider à installer son pneu de secours, ce qu’elle refuse puisqu’elle a un service routier d’urgence pour la dépanner. Mais l’homme prétend avoir été mécanicien et insiste pour changer le pneu. La résidente de Ville Saint-Laurent finit malgré tout par accepter. Alors que la dame de 56 ans veille à ce qu’elle doit faire dans l’immédiat, et veut lui donner un pourboire, l’importuniste voit un sac à main dans le coffre. Il sort la roue de secours, la met dans les mains de la conductrice en prétendant que cette roue ne convient pas. Profitant de ces diversions, il s’éclipse ensuite en prenant le sac à main, qui contenait des cartes de crédit, un certain montant d’argent et quelques effets personnels. La victime décrit le suspect comme un homme blanc d’environ 55 ans, 5 pi 7 po, de stature moyenne, bedonnant, avec un gros visage et une calvitie. Il parle français avec un accent et portait un manteau noir.



Vol qualifié dans un commerce
Article mis en ligne le jeudi 3 novembre 2011

Le 22 octobre dernier, quelques minutes après minuit, le caissier du dépanneur Couche-Tard situé au 6400, rue Sherbrooke Ouest, et un client voient deux jeunes hommes entrer dans le magasin. Tandis que l’un d’eux s’entretient avec le préposé, le second prend une caisse de bière de 12 canettes et revient en essayant de la cacher sous son manteau. Son complice, qui occupait le caissier, le rejoint alors et se dirige avec lui vers la sortie. Le client qui se trouvait dans le magasin, un résident de Huntingdon, voit ce qui se passe et tente d’arrêter le fuyard, mais les deux complices l’empoignent, le battent à l’extérieur du magasin et s’enfuient avec leur larcin. Le client âgé de 52 ans, frappé avec un objet quelconque au visage, a subi une coupure au-dessus de l’œil gauche. Les suspects, des hommes de race blanche, ont pris la fuite au volant d’une voiture grise de marque américaine à quatre portières. Celui qui a pris la bière, 6 pi, environ 150 lbs, a environ 24 ans. Il avait les cheveux ras, un chapeau et un manteau noir. Le suspect qui a frappé le témoin au visage, 6 pi 2 po, 160 lbs, a 24 ou 25 ans. Il avait les cheveux noirs, une barbe, et portait un manteau noir et un chapeau.



Une sortie ratée
Article mis en ligne le jeudi 20 octobre 2011

Le 8 octobre dernier, un homme qui avait pris trop de consommations d’alcool au bar Les Amazones, rue Saint-Jacques, a été arrêté vers 1 h 30. Le client était parti aux toilettes et, naturellement, avait verrouillé la porte de la cabine derrière lui. Dans son état d’ivresse, le jeune homme était incapable d’ouvrir la porte pour sortir de la salle. Fou de colère, il a défoncé la porte, puis il s’en est pris au reste des toilettes. En entendant tous ces bruits de saccage, des clients du bar sont intervenus et l’ont maîtrisé en attendant l’arrivée des policiers. L’homme âgé de 21 ans fait face à une accusation de méfait pour moins de 5000 $.



Vol dans véhicules
Article mis en ligne le jeudi 20 octobre 2011

Deux suspects âgés respectivement de 18 ans et de 17 ans ont été arrêtés le 13 octobre dernier à NDG. Il y aurait de bonnes chances que ce vol soit lié à une série de vols dans véhicules qui ont été perpétrés peu après la tombée de la nuit depuis le 5 octobre dans les quartiers les plus densément peuplés de NDG, selon l’agent sociocommunautaire Peter Mandelos du poste de police 11. Lors du plus récent cas, le 14 octobre dernier, plusieurs victimes se sont présentées au poste de quartier pour rapporter un vol de ce genre. Or, les objets volés correspondent aux articles que les agents ont saisis la veille lors de l’arrestation de ces jeunes résidents de NDG. Les effets récupérés par les policiers sont des téléphones cellulaires, des portefeuilles, des systèmes de localisation GPS, des ordinateurs portables, des outils, un téléviseur plasma ainsi que divers objets. Peter Mandelos rappelle à tout conducteur de ne rien laisser à la vue des passants à l’intérieur du véhicule et de toujours verrouiller les portières. « Il faut se rappeler que les criminels sont des opportunistes. S’ils voient quelque chose, ils en profitent. Il faut tout mettre à l’abri des regards, sans être vu », dit-il. Un règlement municipal autorise les agents à donner une contravention pour porte non verrouillée lors de certains contrôles organisés dans tout endroit où les vols de véhicules sont fréquents.



Vol à la tire
Article mis en ligne le jeudi 5 octobre 2011

Le 6 septembre dernier, une résidente de Côte-des-Neiges se présente au poste de police du quartier pour rapporter un vol. D’après son récit, un homme l’aurait abordée dans le stationnement du supermarché Métro sur Côte-des-Neiges, vers 14 h 15, pour lui demander des renseignements. Pendant qu’elle lui répondait, l’homme aurait subtilisé la petite bourse qu’elle était certaine d’avoir encore dans son sac à main en sortant du supermarché. C’est en arrivant chez elle, constatant que ses cartes personnelles avaient disparu, qu’elle se serait rendu compte de la tromperie dont elle venait d’être victime dans le stationnement. Elle a donc fait annuler son permis de conduire et sa carte de crédit, mais le mal était déjà fait. Il s’est avéré qu’en très peu de temps, le voleur à la tire avait eu le temps d’utiliser frauduleusement sa carte de crédit pour 2000 $ d’achats. En plus de ses cartes, le fraudeur a subtilisé son téléphone cellulaire, son agenda électronique et de l’argent sonnant. Le suspect est décrit comme un homme d’environ 30 ans, de race blanche à la stature mince, 1,50 m et 75 kg. Il avait des cheveux bruns et courts et le teint foncé.



Un homme tué retrouvé à Côte-des-Neiges
Article mis en ligne le jeudi 22 septembre 2011

Un homme de 38 ans a été retrouvé inconscient, après avoir été blessé à l’arme blanche, samedi dernier aux alentours de 22 h, au coin des avenues Barclay et Decelles.

Ce sont des résidents qui ont aperçu l’homme au sol et ont fait appel à la police. L’homme à directement été emmené aux urgences, mais a fini par succomber à ses blessures dans la même nuit.

Selon le service de la police de la Ville de Montréal, aucun suspect n’a pour l’instant été appréhendé et le motif de l’homicide reste toujours inconnu. Les enquêteurs devaient interroger les résidents proches du lieu où la victime à été retrouvée, mais pour l’instant personne n’a pu donner plus de détails aux enquêteurs sur le meurtre.

Selon le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), la difficulté dans l’enquête se trouve être que l’endroit où la victime s’est effondrée n’était pas la scène du crime. De plus, personne ne s’est jusqu’ici présenté comme témoin direct de l’attaque portée sur la victime.

Côte-des-Neiges fait récemment face à plusieurs incidents criminels. Au cours des deux derniers mois, le quartier à été la scène de trois meurtres et une tentative de meurtre. Cet incident devient le 27e sur 28 homicides pour l’année 2011.



Richard Alfonso Mills arrêté pour tentative de meurtre
Article mis en ligne le jeudi 22 septembre 2011
 
Photo: Courtoisie

La police de Montréal à arrêté Richard Alfonso Mills, 41 ans, suspecté d’avoir attenté à la vie d’une femme dans la trentaine, le 23 aout dernier.

Le suspect se trouvait près de l’avenue Bois-de-Boulogne et la rue de Salaberry (Ahunstic-Cartierville) lorsqu’il s’est fait appréhender par la police vers 15 h, le 15 septembre dernier.

Emmené par les enquêteurs, il comparaîtra devant la justice pour tentative de meurtre ainsi que plusieurs autres chefs d’accusation.

Alfonso Mills était recherché après avoir blessé par balles une femme dans son appartement sur l’avenue Linton, à Côte-des-Neiges.

Il était notamment aussi recherché, depuis le 6 août dernier, pour tentative de meurtre sur son ex-conjointe. Une récompense de 5000 $ avait alors été offerte par un donateur anonyme, pour toute personne qui fournirait des informations sur le suspect.



Rage au volant
Article mis en ligne le jeudi 22 septembre 2011

Un cas de rage au volant particulièrement agressif s’est produit, le 7 septembre dernier. Entre 11 h et 11 h 20, deux éboueurs travaillaient à l’intersection de la rue Mackenzie et de l’avenue Victoria. Le camion poubelle tente de repartir, mais le moteur du poids lourd s’étouffe à quelques reprises. Le conducteur du véhicule qui attend derrière les éboueurs s’enrage. Il klaxonne et crie dans leur direction. Par la suite, il dépasse le camion et s’arrête pour lui couper la route. Le conducteur du camion et son collègue de travail descendent du camion pour s’expliquer, mais le suspect se remet à crier : « Viens voir ça, maudit con ». Il s’étire pour ramasser un objet derrière le siège du passager, puis il se redresse avec une arme à feu noire de style 9 mm. La victime d’agression et le témoin remontent dans le camion et appellent la police. Le suspect recherché est un homme de race blanche d’environ 50 ans aux cheveux bruns, 1,86 m, 90 kg. Il portait un gilet à col rond et un blouson gilet noir. L’agent sociocommunautaire Elizabeth Kraska conseille, dans un cas de rage au volant, de prendre une description du fautif ainsi que son numéro de plaque d’immatriculation et d’appeler immédiatement le 911 immédiatement afin que les autos-patrouilles puissent l’intercepter.



Quand le loup montre patte blanche
Article mis en ligne le jeudi 22 septembre 2011

Le 14 septembre vers 16 h, deux amis de 13 et 16 ans respectivement mangent tranquillement sur un banc au parc Coffee près de l’avenue Harley, quand deux autres adolescents plus âgés s’approchent d’eux. Le premier intrus leur annonce avec une mine sympathique qu’il aurait une bonne histoire à leur raconter, et leur demande s’ils aimeraient l’entendre. Les ados acceptent volontiers, mais la suite tourne au vinaigre. Il leur demande s’ils ont un téléphone et, profitant de l’effet de surprise que cela provoque, leur demande de lui donner. Pendant ce temps, son comparse fait le guet. Le voleur pousse l’audace jusqu’à leur demander de l’argent pour aider sa mère qui est incapable de payer une dette de 15 000 $. Par crainte, les jeunes rassemblent l’argent qu’ils ont sur eux et lui donnent. Ensuite, le voleur leur demande de ne pas appeler la police et de ne rien raconter de ce qui vient de se passer à l’école. Une fois les voleurs partis, les victimes du vol entrent dans une école près de là et rapportent l’incident à un enseignant qu’ils croisent afin d’appeler au 911. Le premier suspect est décrit comme un jeune de 16 à 17 ans, 5 pi 8 po, 160 lb, portant un manteau blanc en coton ouaté. Celui qui menait le guet est également décrit comme un jeune de 16 à 17 ans, 5 pi 8 po, 160 lb. Il portait un manteau noir en coton ouaté. Ils sont repartis avec un iPhone 3 et un iPhone 4 ainsi qu’une somme totalisant 25 $.



Vol qualifié
Article mis en ligne le jeudi 22 septembre 2011

Une auto-patrouille est à l’angle du chemin Côte-des-Neiges et de l’avenue Lacombe le 14 septembre dernier vers 23 h 15 quand, du côté est de Côte-des-Neiges, près de la station de métro, les policiers vigilants à bord du véhicule de service voient un homme en détresse qui se cogne contre un poteau, et qui garde obstinément ses mains au visage. Ils vont lui porter secours et constatent qu’il vient d’être aspergé de poivre de Cayenne. Les vapeurs du répulsif à ours imprègnent encore les lieux. La victime fortement aspergée rapporte que ses agresseurs lui ont dérobé son sac à dos et ont fui par la ruelle qui longe le Centre communautaire de loisir. Les policiers émettent la nouvelle sur les ondes du SPVM, puis d’autres agents de police se lancent à la recherche des fuyards. Au coin des avenues Lacombe et Gatineau, une jeune fille témoigne qu’elle a vu deux hommes avec des sacs Adidas qui couraient sur Lacombe en direction est. Les policiers partent à la course en suivant cette fois l’odeur du répulsif émanant de la bonbonne que les fuyards ont gardée. En quelques minutes, ils appréhendent les voleurs à l’angle de la rue Jean-Brillant et de l’avenue Jean-Collin. La victime a dû être traitée à l’hôpital, notamment pour des brûlures à la peau. Un des suspects est résident de la Rive-Sud et l’autre de Montréal.



Attention aux bons Samaritains
Article mis en ligne le jeudi 22 septembre 2011

Le 15 septembre dernier, vers midi, un couple de personnes âgées habitant sur l’avenue Notre-Dame-de-Grâce s’affairait à rentrer des sacs d’épicerie quand un homme aborde la dame pour lui offrir un coup de main. Surprise et ne sachant trop quoi répondre, elle accepte finalement l’aide de ces intrus. Une fois dans la maison, les bons Samaritains racontent qu’ils cherchent la rue O’Donnell pour visiter un appartement à louer. Ils créent plusieurs diversions et obstructions visuelles à l’aide d’une carte routière. Le résidant âgé voit les pieds de l’intrus qui se dirige furtivement vers le salon, mais son attention est retenue ailleurs par la femme. La rue O’Donnell n’existe pas à NDG et la conversation s’étire inutilement. Quand il peut enfin regarder ce que l’homme fait dans son salon, le suspect est déjà revenu mine de rien. Après le départ de ces gens étranges, les résidants se rendent compte de la supercherie dont ils ont été victimes. Le portefeuille qui était dans le sac à main dans le salon a disparu. Il manque également 200 à 300 $ en argent comptant, un permis de conduire, une carte d’assurance santé, une carte de citoyenneté canadienne, des cartes de crédit Master Card, American Express et de la Banque Royale entre autres. Les suspects recherchés par la police sont blancs, européens, et parlaient anglais avec un accent français. L’homme, 5 pi 6 po, 160 lb, avait les cheveux bruns et le teint foncé. Il portait un manteau brun, des jeans et des chaussures de sport. La femme, 5 pi 10 po, 140 lb, portait une sorte d’imperméable avec un petit aigle sur le côté gauche. L’agent sociocommunautaire Peter Mandelos est sûr que le couple répètera ce stratagème. Les fraudeurs ciblent les personnes âgées, qui sont souvent vulnérables parce qu’elles ont tendance à ne pas se méfier des gens.



Les policiers surveillent les zones scolaires
Article mis en ligne le jeudi 8 septembre 2011

Les policiers du Poste de quartier 11 accroîtront leur présence autour des écoles et près des rues corridors de Notre-Dame-de-Grâce, pour assurer la sécurité des nombreux étudiants.

Ils sensibiliseront les parents et les automobilistes à l’importance de respecter le Code de la sécurité routière et aux comportements sécuritaires à adopter en vue de protéger les élèves aux abords des écoles et près des autobus scolaires.

Les parents qui ont des enfants qui voyagent en autobus scolaire doivent s’assurer de bien lui leur indiquer l’arrêt et ne pas oublier qu’ils sont responsables de leurs enfants jusqu’au moment où ils montent à bord de l’autobus scolaire et, au retour, dès qu’il en descend. Quant aux enfants qui doivent se rendre à l’école à pied, les agents recommandent aux parents de prendre le temps de faire le parcours qu’ils doivent emprunter avec leurs enfants et leur enseigner les règles de sécurité.



Vol qualifié sur la personne et vol avec effraction
Article mis en ligne le jeudi 8 septembre 2011

Un homme de 85 ans retournait à sa voiture, à 12 h 15, au coin de la rue Sherbrooke et de l’avenue Grey. Il s’est aperçu qu’une femme s’était introduite dedans. La femme de 33 ans scrutait chaque compartiment de la voiture de la victime. Alors qu’il se rapprochait de sa voiture, la suspecte l’a remarqué et a essayé de s’enfuir. L’homme âgé l’a attrapée et ils ont commencé à se battre. La suspecte s’est emparée de la main de la victime et l’a mordu jusqu’au sang. La victime est alors tombée sur la suspecte et a réussi à la maintenir au sol en lui tenant les mains jusqu’à ce qu’un passant, témoin de la scène, alerte la police. À son arrivée, l’agent de police a pu déterminer que la suspecte était responsable d’une effraction parvenue plus tôt dans un domicile non loin de là, avant de tenter par la suite de voler les biens dans la voiture de la victime. Des bijoux ont été retrouvés dans le sac de la suspecte. La suspecte est une résidente de Montréal. Au moment de son arrestation, elle dégageait des odeurs d’alcool et ne pouvait marcher droit. La victime, quant à elle, s’est rendue à l’hôpital afin que la morsure sur sa main soit vue par un médecin. La suspecte est accusée de vol avec effraction à l’égard du domicile cambriolé ainsi que vol qualifié sur la personne et vol avec effraction sur la voiture de la victime. Selon l’agent sociocommunautaire Peter Mandelos, elle pourrait faire face à d’autres accusations.



Vol qualifié sur la personne
Article mis en ligne le jeudi 8 septembre 2011

Le 31 août à 1 h 37 du matin, une femme se rend à pied avec un ami au service au volant d’un McDonald’s au coin de la rue Linton et du chemin de la Côte-des-Neiges. Alors qu’elle attend pour commander, son ex-conjoint arrive et la prend à part pour discuter. Elle refuse d’engager la conversation avec lui. Il la tire alors par-derrière pour la forcer à l’écouter. Son ex-conjoint remarque soudain qu’elle a de l’argent dans la main et lui ordonne de le lui donner. La femme refuse. Il l’attrape violemment par son chandail et lui donne un coup de poing au visage avec sa main gauche avant de s’enfuir avec l’argent. Les policiers ont pu attraper le suspect et l’ont mis en garde à vue. Le suspect est accusé de vol qualifié ainsi que de voie de fait. Il semblait déjà connu des services de police.



Vol qualifié sur la personne
Article mis en ligne le jeudi 8 septembre 2011

Le 29 août, à 22 h 30, un homme se promenait sur le chemin de la Côte-des-Neiges. Un individu lui bloque soudain le passage à l’intersection du chemin de la Côte-Sainte-Catherine. Un deuxième individu se place au même instant derrière lui pendant que le premier suspect lui demande de vider ses poches. La victime pense être mêlée à une farce et refuse. Le premier suspect prend alors la victime à l’écart et dit au deuxième individu de sortir un pistolet. Le premier suspect se met ensuite à frapper la victime à coup de poing sur la tête. Il tente ensuite de chercher dans les poches de la victime, mais celle-ci parvient à s’enfuir avant de se faire voler. Selon la victime, le premier suspect est un homme d’environ 18 ans, d’origine maghrébine et qui parle français. Il a une carrure athlétique, mesure 1,88 m, a des cheveux noirs et portait une casquette noire lors de l’incident. Le deuxième suspect a 18 ans, est d’origine maghrébine et parle français. Il mesure 1,73 m, est de stature moyenne avec des cheveux courts noirs.



Vol qualifié sur la personne
Article mis en ligne le jeudi 8 septembre 2011

Le 22 août dernier, un jeune homme de 18 ans, arrivé depuis seulement cinq jours au Québec, s’est fait agresser alors qu’il se promenait sur l’avenue Trans Island en direction nord, près du chemin Queen Mary. Il était 19 h 15 lorsqu’il aperçoit sur le trottoir un individu le fixer. La victime, sentant venir le danger, décide de rebrousser chemin et s’apprête à courir en direction opposée, mais se retrouve nez à nez avec un deuxième individu. Celui-ci lui barre le chemin. Les deux suspects empêchent le jeune homme de fuir en lui donnant un coup de pied dans les jambes et le font trébucher. L’un des suspects lui ordonne de donner tout ce qu’il possède. L’homme leur remet son iPhone 4 ainsi que son portefeuille en cuir contenant de l’argent et ses cartes bancaires. Les deux suspects se séparent et prennent alors la fuite. L’homme assailli souffre d’égratignures aux coudes ainsi qu’aux mains. Selon lui, le premier suspect est d’origine arabe, il a 18 ans et parle français. Il mesure approximativement 1,80 m, est plutôt mince avec les cheveux courts noirs. Il se serait enfui en direction ouest sur le chemin Queen Mary. Le deuxième suspect, d’après les descriptions de la victime, est de type caucasien, a18 ans, mesure 1,80 m et parle français. Il portait un T-shirt noir et une paire de jeans au moment des faits. Il serait, quant à lui, parti vers l’est sur le chemin Queen Mary.



Possession illégale de marijuana
Article mis en ligne le jeudi 8 septembre 2011

Les agents René Gauthier, 60 ans, et François Ethier, patrouilleurs à vélo, étaient en plein exercice de leurs fonctions, le 27 août sur l’avenue Fielding près de l’avenue Monkland, lorsqu’ils ont remarqué, à 16 h 45, deux individus sortirent d’un chemin de terre. L’un d’eux fumait de la marijuana. Les deux agents ont voulu procéder à l’arrestation du suspect en possession de marijuana et ont écarté plus loin le deuxième individu. Le deuxième individu en a profité pour se pencher et jeter à terre un sachet. L’un des agents s’est approché de lui et s’est rendu compte que le sachet plastique contenait de la marijuana. Il a fouillé le deuxième suspect pour finalement trouver qu’il cachait plus de drogues sur lui. Alors que les deux agents écrivaient une citation à comparaître en cour pour les deux suspects, Gauthier et Ethier ont reconnu un troisième suspect recherché par la police et l’ont arrêté. Le troisième suspect doit plus de $ 1,000 à la ville de Montréal.



Tentative de meurtre à Côte-des-Neiges
Article mis en ligne le lundi 29 août 2011

Une femme dans la trentaine reposait dans un état stable à l’hôpital le 23 août après avoir été blessée par balles dans un appartement de Côte-des-Neiges au petites heures du matin.

Le SPVM a reçu un appel d’urgence aux environ de 1 h 20 et des policiers sont allés à l’appartement situé sur l’avenue Linton près du chemin de la Côte-des-Neiges.

Dans l’appartement, les agents de police ont trouvé une femme qui avait des blessures graves dans le haut du corps. Sa vie ne semblait pas être en danger.

Une enquête est en cours pour déterminer les causes de cette fusillade et les policiers n’ont encore fait aucune arrestation.

Il s’agit de la seconde fusillade à survenir dans le quartier de Côte-des-Neiges en une semaine.



23e homicide à Montréal
Accusation de meurtre pour Toru Syed
Article mis en ligne le lundi 29 août 2011
 
Photo: Marie Cicchini

Un suspect qui avait été arrêté en lien avec l’homicide survenu le 15 août dernier à Côte-des-Neiges a comparu au palais de justice de Montréal le 19 août et a été formellement accusé de meurtre au premier degré.

Toru Syed, un individu de 24 ans originaire du Bangladesh, a été accusé d’avoir abattu Rakib Mohammad Ullah, âgé de 20 ans, avec une arme à feu dans un immeuble à logements du chemin de la Côte-des-Neiges situé en face d’un hôpital.

La victime a été atteinte d’une balle à la tête au cours d’une dispute qui a éclaté vers 21 h en présence d’une femme et de ses enfants. La victime est morte peu après s’être rendue à l’Hôpital général juif par ses propres moyens. Deux autres personnes ont été blessées.

La femme de l’accusé et des proches ont refusé de commenter en sortant de la salle d’audience.

Toru Syed doit de nouveau comparaître devant le tribunal jeudi cette semaine.



Attention à vos gadgets
Article mis en ligne le lundi 29 août 2011

Surveillez vos gadgets, car d’autres les surveillent. Votre baladeur numérique, votre cellulaire, votre micro-ordinateur et votre console de jeu vidéo sont des objets très recherchés par les voleurs. À la rentrée scolaire, tout le monde vient de terminer ses achats. Tout est beau, tout est neuf. Les vêtements, les gadgets électroniques et des effets aussi banals qu’une casquette peuvent être convoités par les voleurs. Votre poste de police de quartier vous conseille de rester vigilants durant vos déplacements. Privilégiez les endroits éclairés et non isolés, protégez vos objets en évitant de les exposer inutilement, redoublez de prudence si vous vous sentez serré ou bousculé (observez bien cette personne, et vérifiez vite vos possessions pendant qu’il en est encore temps). Et surtout, portez une attention particulière à ce qui se passe autour de vous. Pour les jeunes qui prennent le transport en commun, adopter le buddy system (marcher deux par deux) est le meilleur moyen de ne pas attirer l’attention. Et si quelqu’un vous demande l’heure, regardez votre montre (surtout pas votre cellulaire). Bonne rentrée!



Vol qualifié dans un commerce
Article mis en ligne le lundi 29 août 2011

Un homme entre dans un dépanneur situé au 5405, chemin Côte-des-Neiges. Il va directement derrière le comptoir et ordonne à quelques reprises au caissier de ne pas faire un geste en indiquant de la main qu’il porte à la ceinture une arme dissimulée sous son vêtement. Il s’empare alors d’une vingtaine de paquets de cigarettes du Maurier de format extra long. Il sort rapidement du dépanneur suivi d’un deuxième suspect qui était resté entre les deux portes du magasin pour faire le guet. Les complices montent dans une voiture garée non loin de là et filent par l’avenue Lacombe en direction est. Le premier suspect est décrit comme un homme de 20 à 30 ans, 1,75 m, de stature moyenne. Il parle français et portait une casquette noire et une chemise à carreaux bleue et noire. Le second suspect était de stature moyenne et portait une casquette.



Vol qualifié sur la personne
Article mis en ligne le lundi 29 août 2011

Le 19 août dernier, une résidente de Côte Saint-Luc sortait de la station de métro Snowdon. En se dirigeant vers l’ouest sur la rue Queen-Mary. elle sort son iPhone pour passer un coup de fil. Alors qu’elle arrive entre l’avenue Trans Island et le boulevard Décarie, à 17 h 30, un homme arrive par en arrière en courant et prend violemment l’appareil en la poussant. Mais le téléphone lui échappe et tombe par terre. Alors qu’elle se penche pour le ramasser, elle reçoit un coup de pied dans la tête. L’agresseur ramasse l’iPhone et repart en courant en direction ouest sur le chemin Queen-Mary. La victime s’en est tirée avec de la douleur à la tête. Le suspect est décrit comme un homme d’environ 25 à 30 ans aux cheveux brun foncé et courts, 1,75 m et de stature moyenne. Il portait un chandail blanc, un short blanc et des chaussures sport blanches.



Un hôtel aux frais de leur victime
Article mis en ligne le jeudi 6 juillet 2011

La plaignante avait invité une amie à passer la fin de semaine chez elle pour le Grand Prix de Formule 1 à Montréal. Elles avaient fait connaissance à New York il y a environ trois mois. Mais dès le jour de son arrivée, le 9 juin, les amies se querellent. Elles se querelleront encore plusieurs fois toute la fin de semaine, si bien que le dimanche 12 juin, au petit matin, l’hôtesse téléphone à cette amie New Yorkaise pour lui expliquer que la visite est terminée. Elle lui donne rendez-vous dans le stationnement du restaurant Dunn’s à l’angle du boulevard Décarie et de la rue Jean-Talon afin de lui rendre ses affaires. À 6 h 30, au lieu et à l’heure dite, elle lui remet ses bagages comme convenu. Mais pour se loger ailleurs, la visiteuse exige 500 $ d’indemnisation pour des frais de chambre d’hôtel et de transport. Trouvant cette requête farfelue, la plaignante retourne vers sa voiture, mais un homme arrive par derrière elle et lui ordonne: « Give me your money, or I will smash your face ». La plaignante lui répond qu’elle ne leur doit pas d’argent, mais l’homme insiste. «Just give me $500 no matter what», dit-il. La plaignante s’enfuit dans le stationnement. S’ensuit une poursuite à pied qui dure de 30 à 45 minutes. Après quelques minutes, le voleur la nargue. «You’ll be hit by a car if you keep running. You’d better give me money», prévient-il. Dans sa détresse, la victime se réfugie sur le terre-plein central de la rue Jean-Talon pour héler des secouristes, mais elle n’y réussit pas. Elle tente de nouveau de raisonner le suspect, mais il réplique. «As soon as you get home, I’ll be at your door unless you give me the money», lance-t-il. La plaignante monte cette fois dans un taxi en attente dans le stationnement, où elle se fait prendre en sandwich par la visiteuse et la brute tenace. L’homme lui demande de nouveau 500 $ et dit au chauffeur : «If you call the police, I’ll smash your phone ». Quand ils sortent du véhicule, la victime se sauve et appelle au 911, toute troublée et essoufflée. « Lorsque les agents de police arrivent vers 8 h à l’angle de la rue Jean-Talon et du boulevard Décarie, ils voient une femme qui court et un homme qui court après elle », affirme l’agent sociocommunautaire Elizabeth Kraska. Les agents interviennent et arrêtent les suspects. L’accusée est âgée de 29 ans, et son complice est un résidant de Montréal de 22 ans. Ils devront répondre de voies de fait et de menaces.



Ne rien laisser à la vue d'autrui
Article mis en ligne le mercredi 22 juin 2011

Le 9 juin dernier, à 20 h, un homme à vélo papillonnait d'un véhicule à l'autre en scrutant l'intérieur des véhicules garés à la recherche d'objets à voler, selon un témoin. Le rapport de police indique que l'homme a brisé la vitre arrière d'une voiture, a pris ce qu'il y avait sur la banquette et a continué son chemin à vélo. Le témoin se trouvait à une trop grande distance et n'a pas pu fournir de description du voleur à vélo. Le propriétaire du véhicule avait laissé une somme d'environ 1100 $ CAN, des lunettes de soleil, divers documents et des bagages dans la voiture. Peter Mandelos, agent sociocommunautaire du poste de quartier 11, conseille à tous de ne jamais laisser d'objet de valeur dans un véhicule à la vue d'autrui. S'il y a des objets, il vaut mieux tout mettre dans le coffre.



Épinglé pour incendie criminel
Article mis en ligne le mercredi 22 juin 2011

Le 12 juin, à 21 h 30, les pompiers répondent à un incendie sur l'avenue Walkley. Des témoins s'approchent des agents de police qui dirigent la circulation et leur demandent une conversation en privé. Ils disent savoir qui aurait mis le feu à l'appartement, puis montrent aux agents un homme qui regarde le feu dans la rue. Selon le rapport de police, cet homme habitait avec sa sœur dans l'appartement en feu. Le frère et la sœur avaient eu une dispute avant l'incendie. La femme voulait sortir, mais son frère avait tenté de lui interdire de sortir de l’appartement. Pour la dissuader, il l'avait menacée d’y mettre le feu, mais la femme avait résisté au chantage. Quand elle est revenue, l'immeuble était en feu et elle s'est rendu compte que les flammes venaient de son appartement. Selon des témoins, son frère regardait l'incendie dans la rue et disait à tout vent qu'il avait «mis le feu à la maison». Le suspect, un homme de 26 ans de race blanche, a résisté à la police durant son arrestation. Il devra répondre de plusieurs chefs d'accusations, y compris pour avoir.



Une soi-disant victime se fait épingler
Article mis en ligne le mercredi 22 juin 2011

Le 11 juin à 22 h 25, les agents de police répondent à un appel à une adresse donnée sur l'avenue Prud'homme. Le résidant, un homme de 24 ans, leur raconte qu'il aurait répondu à la sonnette d’entrée. Il se serait ainsi retrouvé devant trois hommes qui lui auraient demandé de la drogue pendant que l'un d'eux le tenait en joue avec un révolver. Il aurait répondu qu'il n'en avait pas. Ils l'auraient alors poussé pour entrer de force en redemandant de la drogue, puis seraient finalement partis après avoir volé un iPhone, un Xbox et une télévision. En remplissant leur rapport, les agents se rendent compte que leur soi-disant victime ne raconte pas toute la vérité. De plus, ils voient quatre couteaux prohibés, quatre armes à feu et différentes sortes de balles de munition. Étrangement, le suspect dit qu'il ne vend pas de drogue, mais que les voleurs auraient également pris un sac de marihuana sans préciser la quantité. Il ne donne guère d'information sur les trois voleurs, mais il les décrit comme «des jeunes de race noire», possiblement les «amis d'un ami». La soi-disant victime a été arrêtée et devra répondre à une accusation de possession d'armes blanches prohibées. Deux des quatre armes à feu saisies sont des fausses et les deux autres sont d'un type qu’il reste à déterminer.



Un hôtel aux frais de leur victime
Article mis en ligne le mercredi 22 juin 2011

La plaignante avait invité une amie à passer la fin de semaine chez elle pour le Grand Prix de Formule 1 à Montréal. Elles avaient fait connaissance à New York il y a environ trois mois. Mais dès le jour de son arrivée, le 9 juin, les amies se querellent. Elles se querelleront encore plusieurs fois toute la fin de semaine, si bien que le dimanche 12 juin, au petit matin, l'hôtesse téléphone à cette amie New Yorkaise pour lui expliquer que la visite est terminée. Elle lui donne rendez-vous dans le stationnement du restaurant Dunn's à l'angle du boulevard Décarie et de la rue Jean-Talon afin de lui rendre ses affaires. À 6 h 30, au lieu et à l'heure dite, elle lui remet ses bagages comme convenu. Mais pour se loger ailleurs, la visiteuse exige 500 $ d'indemnisation pour des frais de chambre d'hôtel et de transport. Trouvant cette requête farfelue, la plaignante retourne vers sa voiture, mais un homme arrive par derrière elle et lui ordonne: « Give me your money, or I will smash your face ». La plaignante lui répond qu'elle ne leur doit pas d'argent, mais l’homme insiste. «Just give me $500 no matter what», dit-il. La plaignante s’enfuit dans le stationnement. S'ensuit une poursuite à pied qui dure de 30 à 45 minutes. Après quelques minutes, le voleur la nargue. «You'll be hit by a car if you keep running. You'd better give me money», prévient-il. Dans sa détresse, la victime se réfugie sur le terre-plein central de la rue Jean-Talon pour héler des secouristes, mais elle n'y réussit pas. Elle tente de nouveau de raisonner le suspect, mais il réplique. «As soon as you get home, I'll be at your door unless you give me the money», lance-t-il. La plaignante monte cette fois dans un taxi en attente dans le stationnement, où elle se fait prendre en sandwich par la visiteuse et la brute tenace. L’homme lui demande de nouveau 500 $ et dit au chauffeur : «If you call the police, I'll smash your phone ». Quand ils sortent du véhicule, la victime se sauve et appelle au 911, toute troublée et essoufflée. Lorsque les agents de police arrivent vers 8 h à l’angle de la rue Jean-Talon et du boulevard Décarie. Ils voient une femme qui court et un homme à ses trousses. Les agents interviennent et arrêtent les suspects. L'accusée est âgée de 29 ans, et son complice est un résidant de Montréal de 22 ans. Ils devront répondre de voies de fait et de menaces.



Journée fèves au lard
Article mis en ligne le jeudi 9 juin 2011

 
Photo: Courtoisie

Le 1er juin dernier, la commandante Simonetta Barth et l’agent sociocommunautaire Elizabeth Kraska, ont rencontré deux organismes et un partenaire lors de la remise de fonds aux organismes pour donner suite à l’activité de vente des fèves au lard 2010. Chaque année, les policiers de la Fraternité des policiers et policières organisent une journée « fèves au lard » afin de remettre des sommes d’argent importantes aux organismes du secteur où les agents offrent leurs services de police. Cette année, le PDQ 26 a distribué des fonds à Multicaf, au Centre des aînés et à l’Association de la communauté noire de Côte-des-Neiges.



Entrée par effraction
Article mis en ligne le jeudi 9 juin 2011

Le 29 mai dernier, vers 1 h 25, un voisin du magasin Jean Coutu situé au 510, rue Sherbrooke Ouest, a appelé la police après avoir entendu du bruit venant d’en arrière du magasin. Quand ils sont arrivés, les agents ont vu un homme qui sortait du magasin par la porte arrière, sur le côté du bâtiment. Quand ils se sont approchés de lui, l’homme a pris la fuite en courant. Les agents de policel’ont rattrapé quelques mètres plus loin et ont réussi à le déséquilibrer et à le menotter. L’homme avait pris le présentoir qui sert de vitrine aux billets de loterie et son contenu, et avait mis le tout dans un sac en plastique qui lui a échappé des mains quand il s’est mis à courir. Les agents ont trouvé une certaine quantité de hasch sur lui. Le suspect est un homme blanc âgé de 39 ans qui réside au centre-ville.



Braquage à la mitraillette
Article mis en ligne le jeudi 9 juin 2011

Le 28 mai dernier, à 12 h 24, un homme a braqué à main armée la Banque TD située au 6100 avenue Sherbrooke avec une mitraillette. Une employé qui travaillait dans un bureau, ayant vu le suspect masqué et la mitraillette qui allait entrer dans la banque, a couru pour aller verrouiller la porte, mais le braqueur était déjà entré. Tenant tout le monde en joue, l’homme a sauté par-dessus le comptoir et a demandé un montant d’argent de 2000 $ à la caissière en criant «Hurry up! Hurry up!» à l’employée qui tremblait de frayeur. Elle lui a remis un certain montant d’argent. Le voleur a dit « Thank you » est sorti en courant en laissant tomber une douille. Le paquet voleur qu’il tenait aurait ensuite explosé à l’angle du boulevard De Maisonneuve. Une citoyenne a rapporté quatre billets de 5 $ partiellement brûlés qu’elle avait trouvés sur le chemin de fer près du boulevard De Maisonneuve entre les avenues Mariette et de Mayfair. Le vol a été capté par la caméra de la banque. Le suspect est un homme blanc aux yeux bleus de 5 pieds 8 pouces et d’allure athlétique. Il portait un manteau kangourou à capuchon, un bandana sur le visage, des gants blancs et un jeans bleus.



Pris la main dans le sac
Article mis en ligne le jeudi 9 juin 2011

Un cambrioleur recherché par la police a récemment été capturé par le Module d’action par projet (MAP) du poste de quartier 11. Un résident vigilant a eu la puce à l’oreille en apercevant un homme qui semblait rôder dans le quartier, et a appelé la police. L’équipe du MAP, qui travaillait de nuit, a suivi l’homme sur la rue Northcliffe. Les agents l’ont vu entrer dans une maison sur Northcliffe et l’ont perdu de vue pendant quelques minutes. Quand il est sorti dans la rue, le voleur transportait une grande tire-lire volée. Les agents se sont approchés de lui pour l’arrêter. En le fouillant, ils ont trouvé sur lui des documents volés, des gants et des outils de cambriolage. Les agents ont ensuite parlé aux habitants de la maison qui leur ont confirmé que la tire-lire leur appartenait bien. Le suspect fait face à une trentaine de chefs d’accusations pour entrées par effraction, possession de biens volés et possession d’outils de cambriolage, entre autres. L’homme de 53 ans est un récidiviste qui possède un lourd casier judiciaire et venait d’été libéré au mois de mai.



Vol de nourriture
Article mis en ligne le jeudi 25 mai 2011

Le 16 mai, entre 16 h 30 et 19 h 30, un individu est entré par effraction dans le bureau de l’Envol des femmes, un centre d’aide aux jeunes mères en difficulté hébergé dans une église au 6870, rue de Terrebonne. L’homme a forcé l’entrée du bureau et a emporté la nourriture qui est destinée aux femmes quand elles se réunissent. Il a pris deux caisses de boissons gazeuses, des boîtes de céréales, le poulet surgelé et le lait. Peter Mandelos souligne qu’il s’agit sans doute d’une personne en détresse qui aurait volé de la nourriture par désespoir. Il tient à rappeler que toute personne qui se trouverait dans cette fâcheuse situation et qui aurait besoin d’aide devrait s’adresser au Dépôt alimentaire de NDG, une organisation charitable qui offre gratuitement des produits alimentaires à ceux qui en ont besoin. Il est situé au 2121, avenue d’Oxford à l’intersection du boulevard de Maisonneuve.



Un fraudeur récidiviste
Article mis en ligne le jeudi 25 mai 2011

Le 11 mai, la concierge d’un immeuble à logements sur l’avenue d’Oxford observe un homme louche qui flâne devant les boîtes aux lettres dans le hall d’entrée. Elle attend qu’il s’en aille pour s’en approcher à son tour et se rend compte qu’il manque du courrier. Elle fait le tour des logements pour avertir les résidants et décrire le suspect. Le lendemain, vers 13 h 45, la concierge le voit de nouveau et se cache pour l’épier. Il se sert d’une clé pour ouvrir toutes les boîtes aux lettres. La concierge se montre et lui demande ce qu’il est en train de faire. Il répond comme si de rien n’était qu’il attend quelqu’un. Elle lui demande qui, mais il improvise sa réponse. Il feint d’avoir assez attendu et s’en va. La concierge s’attend à le revoir et se cache. Environ 10 minutes plus tard, le voleur revient et continue de voler le courrier. Elle sort pour appeler la police, mais le suspect, en la revoyant, décide de déguerpir. Munis d’une bonne description, les agents finissent par le repérer quelques pâtés de maisons plus loin. Le voleur a un véhicule. Les agents le prennent en filature et le contraignent à s’arrêter. Du côté du passager, il y a un amas de courrier. Un agent lui demande ce qu’il fait avec ça et l’informe qu’ils ont reçu un appel et sont à la recherche d’un suspect qui correspond à sa description. Le suspect répond que c’est du courrier que des amis lui ont demandé d’aller chercher. De question en question, les agents se rendent compte que c’est un tissu de mensonges. Ils procèdent à son arrestation et trouvent pendant la fouille des clés qui ouvrent différentes boîtes aux lettres. Le tas de courrier était adressé à des résidents d’immeubles situés sur les avenues d’Oxford, Clanranald et Somerled. C’était surtout une sélection de courrier des banques Scotia et CIBC, de VISA et de chèques du gouvernement. Peter Mandelos, agent sociocommunautaire du poste de quartier 11, précise que ce genre de courrier aurait pu servir à des fins de fraude, et que le suspect est sans doute lié à réseau de fraude et de vol d’identité. Les agents ont visité les destinataires de ces lettres et ceux qu’ils ont trouvés ont dit qu’ils ne connaissent pas le suspect et ne l’ont pas autorisé à prendre leur courrier. Le voleur, un résident de Côte Saint-Luc, avait déjà un casier judiciaire pour des cas semblables. Il est décrit comme un homme âgé de 40 ans, 5 pieds 8 pouces, 180 lb. Il avait le crâne rasé et portait un pantalon sport noir Reebok, un T-shirt blanc et des chaussures sport Nike. Il fait face à des chefs d’accusation notamment pour vol de moins de 5000 $.



Un braquage pour des prunes
Article mis en ligne le jeudi 25 mai 2011

Le 9 mai, à 13 h 55, un homme cagoulé, tenant une arme à feu, profite d’un petit temps mort pour entrer dans la Banque Laurentienne située au 5651 rue Sherbrooke Ouest. Il s’approche de la caissière et lui dit avant de sauter par-dessus le comptoir que c’est un hold-up. Tenant la caissière en joue, le braqueur lui demande les billets de 50 $ et de 20 $ en parlant un français québécois. Aussitôt que la caissière ouvre le tiroir-caisse, le voleur se sert à volonté, puis tente de s’enfuir. Mais voilà qu’en repassant par-dessus le comptoir, le cagoulé se cogne, perd une partie de son butin et s’exclame : « Câââlisse! » Le maladroit sort de la banque à la course, mais, arrivé sur la rue Sherbrooke, un véhicule passe à un cheveu de le percuter. Indemne, mais pris de panique, le voleur jette cette fois presque tout l’argent dérobé. Il poursuit sa fuite avec ce qu’il reste en prenant l’avenue d’Oxford et disparaît en direction sud. Plusieurs témoins dans un bar voisin ont récupéré l’argent éparpillé et l’ont rapporté à la banque. Le suspect est décrit comme un homme blanc d’environ 25 ans, 5 pieds 8 pouces, 170 lb. En plus de sa cagoule, il portait un capuchon, des lunettes de soleil, un manteau noir, un jeans noir et des gants.



Hold-up
Article mis en ligne le jeudi 11 mai 2011

Le 2 mai dernier, une employée de la Banque laurentienne située au 6640, avenue Somerled, a été victime d’un hold-up. À 10 h 45, un homme entre dans la banque et se met à la file. Quand il arrive à son tour au comptoir, il ordonne à la caissière en murmurant : «Give me all your money. Don’t do anything, or I’ll kill you. » Comme elle ne comprend pas à cause du bruit, il lui répète sa menace en français. Ne voyant pas d’arme de poing, elle ne court pas de risque. Elle lui répond qu’il y a peu d’argent dans son tiroir-caisse, et lui donne ce qu’il demande. Le soi-disant braqueur prend l’argent et le met dans sa poche. Il sort ensuite de la banque en marchant sans se presser et s’enfuit à pied par l’avenue Walkley en direction Nord. La directrice de la banque sort du bâtiment pour voir dans quelle direction il se dirige et le voit entrer dans la cour arrière d’un bâtiment. Le SPVM et l’escouade canine déployés sur les lieux ne parviennent pas à repérer le suspect. La police est à la recherche d’un homme d’environ 35 ans, 6’2», 220 lb. Il portait un sac à dos sport noir, des chaussures de sport à semelle blanche, une casquette, un jeans foncé et un manteau avec capuchon à fourrure.



Attaque au couteau
Article mis en ligne le jeudi 11 mai 2011

Le 27 avril, à 23 h20, un individu en état d’ébriété sème le trouble au restaurant pub PJ’s, rue Saint-Jacques Ouest. Sachant qu’il est banni de ce restaurant, le videur lui rappelle qu’il ne peut pas fréquenter cet établissement et lui demande de quitter les lieux. Feignant de partir, l’homme fait volte-face et lance un couteau dans la direction des deux videurs. Les hommes pris pour cible esquivent l’arme de l’agresseur, puis ils le voient se réfugier dans le motel Chablis situé en face du restaurant. Quand les agents de police arrivent sur les lieux, ils vont au motel pour retrouver le suspect et rencontrent dans le hall d’entrée la femme qui l’accompagnait. Ils l’abordent pour lui poser des questions et se rendent compte qu’elle est ivre et qu’elle a de la cocaïne cristallisée (crack) dans son sac à main. Les agents l’arrêtent pour possession de drogue, mais ne parviennent pas à retrouver son compagnon. La police détient l’identité du suspect et croit que son arrestation n’est qu’une question de temps. Il fait face à plusieurs chefs d’accusation, notamment pour agression et possession d’une arme blanche. Il est décrit comme un homme d’environ 35 ans. Il avait les cheveux longs et frisés et une barbe complète. Il portait une casquette bleue, un gilet sans manches, une veste bleu foncé, et un jeans bleu.



Chasse à l’homme
Article mis en ligne le jeudi 11 mai 2011

Le 26 avril à 2 h 20, des patrouilleurs du SPVM témoins d’une infraction au Code de sécurité routière activent leurs gyrophares pour sommer le conducteur du véhicule fautif à s’arrêter. Dès que le policier s’approche de l’Elantra de Hyndai, le conducteur repart en accélérant. Les agents se lancent dans une poursuite policière, puis ils reçoivent l’ordre de l’abandonner quelques minutes plus tard, alors qu’ils se trouvent dans la ville de Hampstead. Tout en gardant un œil sur le véhicule, ils le voient s’arrêter à l’intersection du chemin de la Côte Saint-Luc et de l’avenue Wilson, puis voient deux personnes en sortir. Les agents se rapprochent de l’Élantra et font une chasse à l’homme à pied, mais ils perdent toute trace des suspects en arrière d’un bâtiment. La police appelée en renfort monte un barrage policier dans le périmètre et fait appel à l’escouade canine. Les fuyards demeurent introuvables. Dans l’Élantra, les policiers trouvent les clés sur le contact et le sac à main de la passagère sur la banquette. Le conducteur et propriétaire du véhicule est un individu très bien connu des policiers de la région pour ses vols qualifiés, ses délits de drogue et ses voies de fait, en plus de ses habituelles infractions pour possession d’arme. Il y avait un mandat d’arrestation contre lui. Le suspect a été capturé environ une semaine plus tard. Il fait face à un chef accusation pour refus d’obtempérer à une sommation de s’arrêter et à d’autres accusations. Sa complice ne fait face à aucune accusation.



Entrées par effraction à domicile
Article mis en ligne le jeudi 11 mai 2011

Un voleur sévit dans l’Est de Notre-Dame-de-Grâce. Le mode opératoire du suspect est d’entrer dans les maisons, de chercher des ordinateurs et des sacs à main et de prendre l’argent qu’il trouve. Il ne force pas de serrure pour entrer, mais passe toujours par une porte arrière non verrouillée ou une fenêtre ouverte et ne monte pas dans les chambres. Le voleur a déjà commis 15 entrées par effraction entre 23 h et 6 h dans le quadrilatère formé par les avenues Girouard et Clermont, entre l’avenue Monkland et le boulevard de Maisonneuve. Plusieurs des maisons ainsi dévalisées avaient pourtant un système d’alarme. L’agent sociocommunautaire Peter Mandelos conseille fortement de l’utiliser et d’activer l’armement partiel du système (portes et fenêtres). Il recommande aux résidents de bien verrouiller les portes et fenêtres de leur domicile. La police rapporte que le nombre d’entrées par effraction a ainsi considérablement augmenté depuis plus d’un mois et demande aux résidents de redoubler de vigilance et de rapporter tout incident louche au 911. Le suspect recherché est un homme de race blanche dans la trentaine.



Coalition: Justice pour Anas
Le coroner refuse d’absorber les frais d’avocat
Article mis en ligne le jeudi 28 avril 2011

Alors que l’enquête publique dans les causes et les circonstances de la mort d’Anas Bennis devait commencer hier à Laval, le bureau du coroner a décidé la semaine dernière de ne pas payer les honoraires d’avocat de la famille Bennis.

La famille Bennis s’estime de facto empêchée de participer à l’enquête dont le mandat est d’éclaircir ce qui est arrivé à Anas.
Le 2 septembre dernier, la Cour supérieure avait débouté la requête en cour de la Fraternité des policiers et policières de Montréal et ouvert la voie à une enquête publique qui devait être présidée par la coroner Catherine Rudel-Tessier.
La Coalition Justice pour Anas voulait s’assurer que l’enquête du coroner prenne en considération le rôle qu’a joué le profilage racial dans la mort d’Anas, un jeune d’origine marocaine et musulman pratiquant.

Mohamed Anas Bennis est mort alors qu’il retournait chez lui après ses prières matinales effectuées dans une mosquée de Côte-des-Neiges, le 1er décembre 2005. Il a été atteint de deux coups de feu tirés par l’agent Yannick Bernier. Le 3 juin 2008, la coroner en chef a ordonné une enquête publique dans ce dossier, mais la Fraternité des policiers et policières de Montréal a déposé une requête en cour, soutenue par la Ville de Montréal, pour que l’enquête soit annulée.
Pour Mohamed Bennis, le père d’Anas, « Il est tout à fait inconcevable que d’un côté, les policiers impliqués dans la mort de mon fils soient représentés par des avocats, aux frais des contribuables, et que de l’autre côté ma famille se voit refuser un traitement équitable. C’est clairement deux poids deux mesures. »

La Coalition déclare par ailleurs que la décision du Bureau du coroner ne concorde pas avec une décision récente rendue dans un cas similaire. Dans le cadre de l’enquête du coroner sur les causes et circonstances de la mort de Fredy Villanueva. « Les frais juridiques, non seulement ceux de la famille Villanueva, mais également ceux de Denis Meas et de Jeffrey Sagor-Metellus (tous deux blessés par le même policier qui a tué le jeune Fredy), ont été absorbés par le Bureau du coroner .»

La Coalition Justice pour Anas invite tous les groupes et individus qui soutiennent la cause de la famille Bennis à écrire à Robert Dutil, le ministre de la Sécurité publique, pour lui demander de renverser cette décision.

La Ligue des droits et libertés veut que le ministre Dutil fasse en sorte que les frais d’avocat de la famille Bennis soient payés afin d’éviter une situation où les principaux intéressés, les membres de la famille Bennis, se retrouvent en déséquilibre par rapport aux autres parties intéressées.



Vol qualifié
Article mis en ligne le jeudi 28 avril 2011

Le 23 avril, à 20 h 55, au alors que le restaurant Sushi Shop, sur l’avenue Monkland, allait fermer, deux jeunes de 15 à 20 ans entrent dans le restaurant. Pendant que l’employée était occupée, ils prennent le lecteur de carte à puce et tentent de le remplacer par un autre. Lorsqu’elle revient, elle voit les jeunes qui terminent d’installer l’appareil. Elle leur demande: « Que faites-vous? Je vais appeler 911. » En entendant ces mots, un des jeunes se dirige vers la porte, arrache la poignée, et revient vers l’employée en la menaçant de la frapper avec la poignée. Effrayée, l’employée crie et se couche sur le sol. Les deux voleurs s’enfuis sans emporter les lecteurs de cartes de débit. La police pourra sans doute retrouver les jeunes grâce aux empreintes digitales laissées sur les appareils.



Vol qualifié
Article mis en ligne le jeudi 28 avril 2011

Le 19 avril, à 18 h, une employée du Dollarama situé sur l’avenue Somerled, a été témoin d’un vol à l’étalage. Elle a vu une adolescente prendre des articles dans le rayon des produits cosmétiques, et les enfouir discrètement dans les poches de son manteau. Pendant ce temps, un jeune homme, qu’il l’accompagnait, faisait le guet. L’employée est allée voir la directrice du magasin et lui a raconté ce qui venait de se produire sous ses yeux. La directrice est aussitôt allée rencontrer la cliente. Elle lui a dit qu’elle était au courant du vol, et lui a demandé de vider ses poches et de lui remettre les produits volés. La voleuse s’est mise à crier : « It’s not your business. » Effrayée, la directrice est allée verrouiller l’entrée du magasin Arrivée à la porte, la suspecte s’est rendu compte qu’elle ne pouvait pas sortir. Elle s’est alors mise à crier et à hurler pour l’obliger à la laisser sortir du magasin. Comme la directrice n’ouvrait pas la porte, la voleuse s’est mise à la pousser. Blessée au bras, la responsable refusait toujours de laisser sortir l’agresseure. La jeune fille est donc retournée voir la gérante, la suppliant de ne pas appeler la police. Elle s’est alors mise à sortir les objets volés de ses poches et les a déposés sur le comptoir. Comme la police avait déjà été alertée, les agents sont arrivés et n’ont eu qu’à la mettre en état d’arrestation. La suspecte fait face à des chefs d’accusation pour agression et vol à l’étalage.



Le cellulaire ou le volant
Article mis en ligne le jeudi 28 avril 2011

Le poste de quartier 26 rappelle qu’il est interdit, en vertu de l’article 439.1 du Code de sécurité routière, de conduire un véhicule tout en faisant usage d’un appareil tenu en main muni d’une fonction téléphonique.

Depuis l’entrée en vigueur de cette loi, en avril 2008, une personne ne peut parler, vérifier sa messagerie vocale, lire ses courriels ou envoyer des messages rapides, même si le véhicule est arrêté à un feu rouge.

Les contrevenants s’exposent à une amende de 115 $ et à trois points d’inaptitude.

Il faut soit garer son véhicule légalement, soit utiliser son système mains libres, soit demander à un passager de répondre ou de faire l’appel à sa place. Il est plus prudent d’éteindre le cellulaire et de laisser la messagerie vocale prendre ses appels.

Les conversations téléphoniques mains libres ne sont pas interdites, mais elles diminuent l’attention et la concentration sur la route et nuisent au temps de réaction lors d’une manœuvre urgente.

L’agent sociocommunautaire Elizabeth Kraska du poste de quartier 26 rappelle également que l’utilisation du cellulaire est une source de distraction au volant qui augmente le risque d’accident, comme par exemple brûler un feu rouge, dépasser la limite de vitesse ou négliger d’utiliser ses clignotants pour changer de direction.



Coalition: Justice pour Anas
L’enquête du Coroner débute le 27 avril
Article mis en ligne le jeudi 14 avril 2011

La Coalition Justice pour Anas a soumis une demande pour être reconnue comme « personne intéressée » dans l’enquête du coroner sur les causes et circonstances de la mort d’Anas Bennis, qui débutera le 27 avril 2011. La Coalition Justice pour Anas veut s’assurer que l’enquête du coroner prenne en considération le rôle qu’a joué le profilage racial dans la mort d’Anas, un jeune d’origine marocaine et musulman pratiquant. « Un agent impliqué dans la mort d’Anas a été trouvé coupable cet été de cinq infractions au code de déontologie policière dans une affaire non reliée qui soulève le spectre du profilage racial, alors que des rapports récents dévoilés lors de l’enquête publique sur la mort de Fredy Villanueva ont révélé les tendances au profilage racial des forces policières à Montréal » déclare Samir Shaheen-Hussain, un membre de la Coalition. « Il est alors impératif que la question du profilage racial soit explorée pour comprendre les circonstances qui ont mené à la mort d’Anas. » Mohamed Anas Bennis est mort alors qu’il retournait chez lui après ses prières matinales effectuées dans une mosquée de Côte-des-Neiges, le 1er décembre 2005. Il a été atteint de deux coups de feu tirés par l’agent Yannick Bernier. Le 3 juin 2008, la coroner en chef a ordonné une enquête publique dans ce dossier, mais la Fraternité des policiers et policières de Montréal a déposé une requête en cour, soutenue par la Ville de Montréal, pour que l’enquête soit annulée. Une décision de la Cour Supérieure, le 2 septembre dernier, a débouté la requête de la Fraternité, ouvrant la voie à une enquête publique. Elle sera présidée par la coroner Catherine Rudel-Tessier.



Vol qualifié
Article mis en ligne le jeudi 14 avril 2011

Le 3 avril, vers 4 h, un chauffeur de taxi au service d’une compagnie a fait une course qui s’est mal terminée. À l’intersection de l’avenue Des Pins et du boulevard Saint-Laurent, six personnes hèlent un taxi. Une cliente descend sur la rue Saint-Urbain, une deuxième personne se fait déposer à l’angle de l’avenue Westminster et du chemin Mackle, et un jeune homme et une jeune femme se font conduire à l’angle de l’avenue Palmer et du chemin Guelph, À l’angle des avenues Coolbrook et Plamondon, les choses se gâtent. Deux passagers sortent du taxi et le chauffeur se retrouve avec un seul client dans le taxi, assis juste derrière lui. Le passager saisit soudain la lampe de poche qui se trouve entre les deux sièges avant. Pressentant qu’il allait partir sans payer, le chauffeur l’empoigne, mais il reçoit coup de poing dans le visage et lâche prise. L’agresseur s’enfuit avec la lampe de poche sans payer la course, rejoint les deux autres clients, et disparaît avec eux en courant dans une ruelle. Le total du vol s’élève à une quarantaine de dollars. L’homme recherché est décrit comme un jeune homme blond, âgé d’environ 25 ans, 1,80 m. Il parlait français et portait un chandail gris à manches longues et un jeans.



Vol qualifié
Article mis en ligne le jeudi 14 avril 2011

Un résident du 3300, rue Goyer rentrait chez lui le 2 avril dernier, vers 17 h 30 quand, arrivé près de chez lui, deux hommes surgissent derrière lui et tentent de s’emparer de son cellulaire. Mais il le tient bien et refuse de lâcher son précieux gadget. L’un des suspects lui assène des coups dans le bras et dans le visage. L’autre brute vient par derrière, frappe la victime dans le visage et la pousse au sol. Le premier agresseur réussit à s’emparer du cellulaire et s’enfuit avec son complice en courant direction est sur la rue Goyer, puis en direction nord sur l’avenue Decelles. Le premier suspect est décrit comme un jeune homme de 18 à 20 ans, environ 1,77 m, 77 kg. Il avait les cheveux noirs, attachés, et les yeux bruns. Il portait une casquette, un coupe-vent et un pantalon noirs. Le deuxième suspect avait environ le même âge et portait un T-shirt blanc.



Vol qualifié
Article mis en ligne le jeudi 14 avril 2011

À la fin mars, après avoir quitté le restaurant Chez Benny, un homme et une femme marchent en direction nord sur le chemin Queen Mary, quand soudain, un groupe de trois individus les abordent près de l’intersection des avenues de Westbury et Lacombe. L’un des membres du groupe met un pistolet contre la tête de l’homme et, alors qu’il se fait détrousser, il voit un suspect lancer du poivre de Cayenne dans le visage de la femme avant de subir le même sort dans la seconde qui suit. Pendant qu’ils sont aveuglés, les brutes s’emparent du sac à main de la femme, de son portefeuille et de son cellulaire, et s’enfuient. Le suspect au pistolet est décrit comme un homme anglophone d’environ 18 ans, 1,75 m à 1,90 m. Il avait le teint basané et portait une barbe de quelques jours, une casquette noire et un chandail noir à capuchon. Il avait une arme de poing de couleur noire. Le deuxième suspect est un homme de 18 à 20 ans, 1,65 m et 55 kg. Il portait un manteau noir avec « Carlsberg » calligraphié en lettrage blanc. Le troisième suspect est décrit comme un homme de 18 à 20 ans qui parlait anglais, 1,65 m, 55 kg, qui était vêtu de couleurs foncées.



Vol qualifié
Article mis en ligne le jeudi 31 mars 2011

Le 27 mars, à 17 h 10, une femme de 32 ans et enceinte de plus de six mois, effectue un retrait au guichet automatique à la banque Laurentienne située au 6640 avenue Somerled. Elle vient à peine d'entrer son numéro d'identification personnelle quand un homme s'approche d'elle par derrière. Comme il presse sa hanche droite sur son corps, elle sent un objet dur dans sa poche droite. Le voleur lui demande alors de retirer de l'argent pour lui. Paralysée de frayeur, elle finit néanmoins par dire: « Ne me faites pas de mal. Je suis enceinte. » Il lui répond: « Fais seulement ce que je te demande. Je ne veux pas te faire de mal. Donne-moi juste de l'argent, j'ai des enfants à nourrir. » La femme lui répond que ses débits sont limités à 500 $ par jour, et le voleur lui fait signe de procéder. La femme lui donne donc des billets de banque. En prenant l'argent, l'homme lui dit alors: « Maintenant reste ici parce que je ne veux pas te faire de mal. J'ai des amis dehors. » La femme reste donc une minute de plus dans la banque avant d'appeler au service d'urgence 911. La police recherche un homme noir d'environ 5,8 pieds, mince qui parle anglais. Il portait des vêtements noirs et un manteau trois-quarts avec une capuche bordée de fourrure. Il avait également de la mousse blanche autour de la bouche. « C'est une caractéristique que l'on observe couramment chez les personnes qui font usage de drogue », explique Peter Mandelos. La femme serait en mesure de l'identifier, mais n'est pas sûre s'il dissimulait réellement une arme à feu. Le vol a été capté par la caméra vidéo de la banque. Le suspect a agi à visage découvert, et ce n'est qu'une question de temps pour que la police lui mette la main au collet, selon Peter Mandelos.



Un policier agressé
Article mis en ligne le jeudi 31 mars 2011

Le 21 mars vers 2 h deux agents de police, membres du groupe Éclipse qui effectuent régulièrement des contrôles dans les bars, arrivent au bar Les Amazones situé au 6820, rue Saint-Jacques. Aussitôt qu'ils entrent dans le bar, un homme armé d'une bouteille de bière frappe un agent par en arrière à deux reprises. L'agent se retourne et lui demande: « Pourquoi m'avez-vous frappé? » L'agresseur leur crie grossièrement de partir, et dit : « Vous n'avez rien de mieux à faire que venir ici? » Les clients et le barman interviennent calmement, mais l'homme continue d'injurier la police, et pousse un des agents. Les agents l'empoignent et l'emmènent à l'extérieur pour le mettre son arrestation. À l'extérieur du bar, ils tentent de lui parler, mais l'homme continue son comportement verbal et physique violent. Les agents réussissent à lui passer les menottes. Pendant ce temps, le suspect profère inlassablement des menaces. «Vous ne savez pas à qui vous avez affaire. Si vous avez de la famille, je vais leur refaire le portrait... à vous et à votre famille. Je suis un gars de l'armée. Vous feriez mieux de faire attention ». L'homme de 25 ans, un résident de Châteauguay, a été placé dans une cellule de détention au Centre d'enquête sur le boulevard Saint-Laurent en raison de son grave état d'ébriété. Il fait face à des accusations de menaces et de voies de fait contre des agents de la paix.



Un métier parfois ingrat
Article mis en ligne le jeudi 31 mars 2011

Le 5 mars, à 17 h 20, des policiers roulaient en direction ouest sur la rue Sherbrooke quand ils aperçoivent un véhicule qui ressemble à celui utilisé lors d'une entrée par effraction. Ils font demi-tour pour relever le numéro de plaque d'immatriculation. Dès qu'il les voit, le conducteur bifurque devant le restaurant Ma's, et entre dans le restaurant. Les agents restent dans leur véhicule pour faire la vérification sur leur ordinateur. Ils apprennent que le propriétaire de ce véhicule a un mandat d'arrestation contre lui pour avoir violé à deux reprises l'interdiction de posséder une arme à feu. Comme il commence à faire noir, les agents voient le conducteur à l'intérieur du restaurant. Quand ils entrent à leur tour, l'homme sort son permis de conduire et l'agite en l'air pour le montrer aux agents. Ils l'examinent et constatent que l'homme devant eux est bien le propriétaire du véhicule garé dehors. Ils le préviennent qu'il est sous arrestation et lui demandent de déposer son portefeuille et son baladeur numérique afin d'exécuter une fouille sommaire et lui passer les menottes. Impassible, le prévenu répond « Wait! ». Soudain, il fait volte-face en portant la main à sa ceinture et brandit une arme de poing. Un agent s'exclame alors: « Gun! Gun! Drop the gun! » Le prévenu refuse de lâcher son arme. Sans sortir leur propre arme à feu, les agents font deux tentatives pour le désarmer et parviennent à lui faire lâcher son arme en donnant des coups sur la main qui la tient. Le revolver, un Colt Army Special, était chargé de six balles de calibre 38. L'homme âgé de 26 ans devait répondre de plusieurs chefs d'accusation pour possession d'arme à feu restreinte et bris de probation. C'est un homme qui est obsédé par les armes et qui a fait partie d'un groupe d'armes spéciales et tactique. Ce métier a un aspect parfois ingrat qui mérite d'être souligné, selon Peter Mandelos, agent socio-communautaire du poste de quartier 11. « Personne n'entend parler des bons coups de la police chaque fois que les agents parviennent à leur risque et péril à neutraliser un individu armé sans dégainer leur arme de service. Les agents de police Francis Thouin et Maxime Bérubé ont fait un excellent travail», a-t-il dit.



Vol qualifié
Article mis en ligne le jeudi 25 mars 2011

Le 21 février à 19 h 40, le plaignant prend l’autobus à partir de la station Lionel-Groulx pour aller à l’angle des avenues Victoria et Plamondon. Il marche sur Victoria, direction nord, en envoyant des textos par cellulaire. Tout à coup, il se sent suivi par deux hommes. À l’angle des avenues Victoria et de Courtrai, ils se rapprochent de lui, et un suspect lui dit : « Give me your cell phone ». Le plaignant prend cela comme une blague et refuse. Il entend : « Don’t let us hurt you ». Il encaisse un coup dans la mâchoire gauche et tente de protéger son cellulaire en tombant au sol. Il crie pour appeler à l’aide et continue de recevoir des coups de pied dans le front et dans le thorax. L’un des suspects tente d’arracher le cellulaire. À ce moment-là, deux témoins accourent et les deux scélérats s’enfuient sans réussir à prendre le cellulaire. La victime a subi des blessures au visage, des ecchymoses du côté gauche du front, des rougeurs à la mâchoire et aux coudes et des douleurs dans les côtes. Le premier suspect est un homme d’environ 20 ans, 1,82 m, 90 kg. Il parle anglais et portait un manteau d’hiver noir et une casquette noire. Le deuxième suspect est un homme d’environ 20 ans, 1,80 m, 75 kg. Il portait un kangourou noir et un foulard noir sur le visage. L’agent sociocommunautaire Elizabeth Kraska du PDQ 26 rappelle que l’on vit dans une société de technologie. Aujourd’hui, presque tout le monde porte sur soi un gadget électronique. Il suffit de donner l’heure à quelqu’un pour s’exposer au danger bien réel d’un vol qualifié.



Beaucoup de peur et de mal
Article mis en ligne le jeudi 25 mars 2011

Le 18 février à 12 h 45, un étudiant de 20 ans du secteur de Côte-des-Neiges marchait sur Van Horne, direction est, à la sortie du métro Plamondon, puis sur Lavoie, direction sud. Tout à coup, il se sent suivi. À l’angle de l’avenue Linton et de la rue Lavoie, un homme le saisit par l’épaule pour le faire retourner, arrache ses écouteurs et se met à le fouiller. Le larron lui dit de lui donner tout ce qu’il a. Ensuite, il le frappe à quelques reprises à la tête avec le pistolet noir qu’il tient de la main droite. Il finit par le pousser au sol et lui donner un autre coup à la tête. Le scélérat prend ensuite la fuite sur Lavoie, direction nord, avec l’iPhone de la victime. Le suspect est un homme d’environ 20 ans, 1,80 m, 70 kg. Il a les cheveux noirs et les yeux bruns. Il portait un chapka foncé, une veste noire sans manches, un chandail avec capuchon gris. Il parle français avec un accent québécois. Le pistolet noir était un jouet.



Vol qualifié dans un commerce
Article mis en ligne le jeudi 25 mars 2011

Le 12 février, à 13 h 35, le Couche-Tard situé au 6300, rue Sherbrooke Ouest a été ciblé pour un vol. Aussitôt que les clients du dépanneur sortent, l’homme qui attendait dans la cabine téléphonique située à l’extérieur du dépanneur fait irruption dans le magasin. Il sort un couteau, saute par-dessus le comptoir et ordonne au caissier de lui donner l’argent en le menaçant. Il ordonne ensuite au caissier d’ouvrir le tiroir-caisse et le force à rester à l’écart pendant qu’il vide le contenu dans un sac plastique du Couche-Tard. Il empoigne ensuite le caissier, le plaque au sol et lui ordonne : « Reste couché et compte jusqu’à 10. Appelle pas la police ou personne d’autre », avant de se sauver sur la rue Sherbrooke, direction est. La gérante, qui se trouvait alors dans le bureau, appelle 911, mais quand la police arrive, le larron est déjà loin. Le suspect recherché est un homme d’environ 1,73 m, 81 kg. Il parle français et portait un manteau beige avec une ligne noire au milieu du dos, une tuque noire, un cache-cou noir, un pantalon et des gants noirs et des lunettes de soleil.



Une leçon à retenir
Article mis en ligne le jeudi 25 mars 2011

Le 11 février à 17 h 15, en répondant à la sonnette de leur domicile sur l’avenue West Broadway, un couple reçoit la visite de deux hommes louches appâtés par leur petite annonce Kijiji. Le couple avait mis des bijoux à vendre. Aussitôt entré, l’un des hommes sort un fusil à canon scié de sa veste et ordonne: « Do what I say and you won’t be hurt ». « Le couple aurait pu leur refuser d’entrer, mais se sentaient impuissants étant donné la taille de ces hommes jeunes et forts », précise l’agent sociocommunautaire du PDQ 11 Peter Mandelos. Pendant qu’un des malfaiteurs cherche les bijoux, l’autre surveille les prisonniers qui ont les mains liées au moyen d’attaches autobloquantes, et la bouche et les yeux couverts de ruban adhésif en toile. Soudain, ils entendent un coup de feu retentir dans la pièce que le larron est en train de fouiller, et les deux voleurs, affolés, s’enfuient. C’est peut-être la détente accidentelle de la gâchette qui a fait fuir les usurpateurs, selon Peter Mandelos. Environ dix minutes plus tard, les victimes parviennent à se libérer et à appeler 911. Des techniciens en scène de crime sont également appelés pour effectuer des relevés d’empreintes digitales. Le couple constate alors que des bijoux ont été volés, incluant ceux qui étaient à vendre, mais ne sont pas sûrs d’avoir tout énuméré ce qu’il manque. Le suspect armé est décrit comme un homme d’environ 25 ans, 1,76 m et 72 kg. Il est anglophone et portait un long manteau bleu et une tuque noire. Le second est également âgé d’environ 25 ans, 1,82 m et 77 kg. Il portait un manteau gris, un jean bleu et une tuque grise à pompon. Peter Mandelos déconseille de donner un numéro de téléphone câblé dans les petites annonces Kijiji, LesPac.com ou Craigslist afin d’éloigner les indésirables. Il serait également préférable d’emmener les articles à vendre dans un endroit public.



Vol qualifié
Article mis en ligne le jeudi 25 mars 2011

Le 23 février, à sa sortie de l’école à 17 h 30, un jeune se dirige vers le métro Côte-des-Neiges en compagnie de trois amis quand, en arrière de l’édicule de la station de métro, trois jeunes s’approchent d’eux. L’un d’entre eux, parlant peu clairement, lance à la cantonnade : « Avez-vous des chiches? » Ensuite, ils leur demandent s’ils ont de l’argent. L’un d’eux répond « Non ». Se faisant soudain plus insistant, le suspect sort un couteau de son manteau, et de la main droite, le retire à demi de son fourreau. Pour éviter des problèmes, le plaignant leur donne à contrecœur l’argent qu’il avait sur lui, puis les suspects s’enfuient. Le couteau était un kirpan, mais les suspects seraient d’origine libanaise, selon le plaignant. Le premier suspect est décrit comme un homme d’environ 17 ans, 1,65 m, droitier, qui parle français. Il avait les cheveux frisés, noirs et très courts sur les côtés. Il portait une veste en cuir noire, un jean bleu foncé et des chaussures d’été noires. Le deuxième suspect est également d’environ 17 ans. Il portait une veste de style sport noire et un pantalon noir à lignes blanches griffé Adidas et une tuque rouge à lignes bleues.



Faire du mal
Article mis en ligne le jeudi 17 février 2011

Le 9 février vers 17 h 59, un homme entre dans le magasin Public Mobile situé au 4214, chemin Queen Mary, et regarde les téléphones. Quelques minutes plus tard, il demande à la caissière de lui échanger une pièce de 25 cents en devise américaine pour une pièce de 25 cents en devise canadienne. Puis il glisse la main gauche sous son manteau et la pointe vers l’employée pour lui faire croire qu’il dissimule une arme à feu. Lorsqu’elle lui donne l’argent, le suspect tente de se faire passer pour un bon Samaritain en mentionnant que sa fille est malade. Il demande à sa victime de ne pas appuyer sur le bouton d’urgence avant de prendre la fuite en direction du métro Snowdon. Le suspect est décrit comme un homme d’environ 25 ans, 1,75 m, 75 kg, qui parle français. Il a les yeux bleus, des taches de rousseur et une barbichette rousse. Il portait des jeans pâles, un chandail, un capuchon rayé gris foncé et vert et un foulard bleu.



Vol qualifié
Article mis en ligne le jeudi 17 février 2011

Un vol qualifié s’est produit le 9 février vers 18 h 30. La plaignante se dirige vers l’entrée de l’immeuble situé au 4721, avenue Linton. À deux pas de l’entrée, un homme arrive par-derrière elle et lui donne, de la main droite, un coup de poing au côté droit du visage. La victime tombe dans la neige. Le suspect se penche vers la plaignante, arrache le sac à main qu’elle tenait de la main droite et prend ensuite la fuite sur l’avenue Linton direction est. Le sac à main contenait son téléphone cellulaire, des cartes personnelles, un peu d’argent, deux agendas, des clés pour un bâtiment et plusieurs produits cosmétiques. Le suspect est décrit comme un jeune homme très mince, environ 1,55 m. Il portait un chapeau noir en tissu, un manteau court et des pantalons noirs.



Trois dans le panier à salade
Article mis en ligne le jeudi 17 février 2011

Un vol qualifié s’est passé le 7 février vers 11 h 30. Le plaignant sortait de la succursale Banque nationale à l’angle des avenues Lacombe et Decelles où il venait de faire un retrait au guichet automatique. En marchant en direction est sur Lacombe, il se sent suivi, se retourne et voit trois hommes qui lui sautent dessus. Ils lui demandent son argent et ses cartes personnelles. Le suspect se met à crier et fait fuir les suspects sur Lacombe en direction est. Une passante vient assister la victime. Ensemble, ils tentent de retracer les trois suspects. Environ 30 secondes plus tard, ils croient les avoir localisés sur Decelles à l’angle Édouard-Montpetit et les voient entrer dans un appartement. Des agents de police dépêchés sur les lieux ont pu identifier trois jeunes suspects de 17 ans qui étaient déjà connus de la police. La victime s’était fait voler de l’argent et son cellulaire. C’est grâce à ses cris et à l’aide de la passante que cette histoire a mené à l’arrestation de ces trois jeunes, selon l’agent sociocommunautaire Elizabeth Kraska.



Guet-apens
Article mis en ligne le jeudi 17 février 2011

Un vol qualifié est survenu le 7 février dernier, à 2 h 35, lorsque le plaignant était sorti du restaurant où il travaillait pour rejoindre la personne qui devait lui remettre sa paye. Tel que convenu, l’employé trouve sa patronne stationnée à l’angle du chemin de la Côte-des-Neiges et de l’avenue Dupuis, où il reçoit l’enveloppe d’argent comptant, puis la glisse dans la poche gauche de son manteau. À peine est-elle partie que deux hommes abordent le cuisinier et lui demandent en anglais comment il va, et d’où il vient en se tenant très près de lui. Le cuisinier tient un panier d’épicerie contenant des légumes pour le restaurant. Tout en continuant à marcher, il répond aux suspects qu’il n’a pas le temps de parler. Soudain, il se rend compte que sa paye n’est plus dans sa poche et il voit le premier suspect s’enfuir sur l’avenue Dupuis en direction ouest. Alors qu’il s’élance pour le rattraper, le deuxième suspect lui fait un croche-pied pour faire trébucher la victime avant de prendre la fuite. Les voleurs ont pris une somme importante en argent comptant. Le premier suspect est décrit comme un homme d’environ 20 ans, 1,70 m et 63 kg. Il a les cheveux noirs et portait un manteau noir et un pantalon noir avec un chandail blanc. Il parlait un anglais approximatif. Le deuxième suspect est décrit comme un homme d’environ 20 ans, 1,80 m, 82 kg, les cheveux noirs. Il avait les cheveux frisés noirs, et portait un manteau noir, un chandail blanc, un capuchon vert et un sac noir en bandoulière. Il parlait peu l’anglais.



Un homme arrêté pour homicide
Article mis en ligne le lundi 24 janvier 2011
 
Photo courtoisie du SPVM
Rodrigo Odones

Un suspect a comparu aujourd'hui à la cour relativement au 2e homicide survenu sur le territoire de Montréal en 2011. 

Le 18 janvier dernier, le concierge d'un immeuble à logements situé dans le secteur de Côte-des-Neiges a découvert le corps inanimé de la victime, un homme de 44 ans. Le corps avait des marques de violence.

Le suspect, Rodrigo Odones, âgé de 34 ans, a comparu le 21 janvier dernier et fait face à une accusation de meurtre au deuxième degré.



Vol qualifié sur la personne
Article mis en ligne le jeudi 20 janvier 2011

Le 12 janvier dernier, entre 20 h 40 et 21 h, un livreur de pizza se présente au 3777, rue Lacombe pour une commande à domicile. À la porte, le résident lui affirme qu'il n'a rien commandé. Sur le trottoir, un homme sort d'un véhicule rouge, stationné à l'est dans l'entrée du stationnement, l'agrippe au bras gauche et le tire vers lui. Il se met à fouiller les poches du jean que portait le plaignant sous la menace d'une arme pointée de la main droite. Le voleur s'empare de l'argent, du cellulaire et du portefeuille de sa victime avant de prendre la fuite en courant entre les stationnements vers la station de métro Côte-des-Neiges. Le suspect est décrit comme un homme aux yeux bruns, droitier, mesurant environ 1,70 m, 89 kg. Il parle français et portait un manteau jaune de style Canada Goose avec capuchon, un pantalon foncé et un foulard qui recouvrait son visage.



Attaquée au couteau
Article mis en ligne le jeudi 20 janvier 2011

Le 12 janvier, à 23 h 25, une femme qui marchait vers la pizzéria située en face du métro est prise en filature par trois jeunes hommes qui se trouvaient près du téléphone de l'édicule du métro Snowdon. Ils l'attendent sur le trottoir en compagnie d'un ou deux autres individus. Tandis que la plaignante s'engage sur la rue Fulton en direction est, l'un des suspects l'agrippe par la tête, un autre prend son sac à main, et le troisième l'attaque au couteau. Ils fouillent la victime qui est tombée sol et prennent son cellulaire. La victime voit un autre suspect avec un couteau. Un des suspect lui demande en anglais : « That's all you got? » Puis elle est rouée de coups de pieds à la tête et voit les crapules prendre la fuite en direction du métro Snowdon. Elle s'en tire avec une ecchymose à la tête et des blessures aux genoux, mais elle souffre de douleurs à la tête et au cou et est transportée au centre hospitalier. Le premier suspect est décrit comme un jeune homme de 18 à 20 ans, 1,70 m, environ 70 kg. Il portait une tuque et un manteau noirs et s'exprime en anglais. Le deuxième suspect est un autre jeune d'environ 18 ans, vêtu de noir et d'une tuque noir. Il n'y a aucune description du troisième suspect. Les armes impliquées sont des couteaux de cuisine.



Quand demander l'heure ne suffit pas
Article mis en ligne le jeudi 20 janvier 2011

Un vol qualifié sur la personne est survenu le 14 janvier dernier entre 21 h 50 et 22 h 25 près de l'intersection des avenues Victoria et Bourret. Après le travail, la plaignante entre dans un wagon du métro Côte-Vertu en direction de Montmorency. Elle s'asseoit, et quatre adolescentes, qui attendaient aussi sur le quai, s'assoient dans le même wagon. L'une d'elles, assise en face, lui demande l'heure. Pour répondre, la passagère sort son iPhone et dit « 21 h 56 ». L'adolescente lui dit alors: « Je te connais, toi! » Mais la victime ne répond pas. À la station de la Côte Sainte-Catherine, l'adolescente lui demande l'heure de nouveau. La victime décide alors de descendre à cette station, mais les quatre adolescentes aussi, et la plaignante se rend compte qu'elle est suivie. Elle prend la rue Victoria direction nord, puis s'arrête pour laisser passer les suspectes. Elles traversent la rue, et quelques pas plus loin, une des suspectes crie à la plaignante: « Did you call me a b****? » en revenant vers elle. La plaignante compose le 911, mais elle reçoit un coup derrière la tête et se fait pousser et frapper par le groupe d'adolescentes. Les suspectes partent en direction du métro Côte Sainte-Catherine avec le sac à main, le portefeuille et un chèque, le cellulaire et le baladeur numérique de leur victime. La première suspecte recherchée est décrite comme une adolescente d'environ 16 ans, 1,58 m, 58 kg, qui parle anglais et français. Elle a les cheveux frisés et portait un pantalon gris en coton ouaté, un manteau noir, et les cheveux détachés. La deuxième suspecte est âgée d'environ 16 ans et mesure environ 1,58 m. Elle est mince, et portait des lunettes, un jean bleu, et un manteau d'hiver de couleur violet. La troisième est également décrite comme une jeune d'environ 16 ans, 1,52 m. Elle portait un piercing dans la bouche. On ne possède pas de détails sur la quatrième suspecte.




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